Réveille toi. [ᴛᴇʀᴍɪɴᴇʀ]

XVII

13:31

«Loin de toi je n'étais plus rien, mais tu était vivant et c'était tout ce qui comptais... »

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-Baekhyun! Je courrais partout. Ou est-il parti?

Je l'ai perdu c'est ça? Je ne le reverais plus jamais.
Impossible. Les âmes soeurs sont destiner. Les âmes soeurs ne ce séparent pas une fois qu'elles ce rencontre.

-Baekhyun!  J'entre en criant son nom dans la chambre de ma petite soeur. Je sais  que c'est l'un des endroits préferer de Baekhyun. Ils'y sens bien. Comme  apéser. Sauf qu'il n'y était pas.

Si il n'ètait pas au près  de moi, alors ou était il? Shunju me la arracher? Suis-je si médiocre  comme pour laisser ma raison de vivre dans les bras d'un autre homme.  Suis-je si faible pour ne pas pouvoir le garder a mes côté?

Je ne l'ai pas assez aimer. Je ne lui est surement pas donner assez.

Il est parti.

Je l'ai perdu.

-Baek... J'était essoufler, mon coeur battait la chamade.

-Je suis la.. mon amour. Cette voix. C'était lui. Ces mains sur mon visage. C'est lui. Le seul. L'unique.

-Baek... Je m'accroche. J'en suis bouleverser de sentir son odeur si proche. De sentir c'est bras entourer mon corps.

Je rêve?

-Chanyeol-ah regarde moi.

J'ouvre difficilement les yeux. Si c'est un rêve je ne voudrais pas me reveiller. Si c'est pour le voir dans mes rêves alors je voudrais dormir pour toujours. Pour le voir, pour l'entendre..

-Chanyeol.. Reveille-toi.

Mes yeux s'ouvre alors,obeissant l'âme qui me hante.

-Je suis la. Me dit-il. Je suis avec toi, je ne part plus. Plus jamais je partirais.

Je le regarde, muet, immobile. Pétrifier ou hypnotiser? Je ne serais dire. La seule chose que je sentais c'était son souffle contre mon cou.

-Baekhyun...?

-Oui, c'est moi Chanyeol. Ce n'était qu'un cauchemard.

Je suis perdu et il le sens, alors il m'embrasse. Et c'est a ce moment la que mes connexions nerveuses ce sont remisent en marche. Je repondis alors a son baiser plus que délicat, et encercla sa taille de mes grand bras.

-Tu est là. Murmurais-je contre ses lêvres étirées en un large et magnifique sourire.

-Je suis la. Dit-il en carressant ma joue de sa fine main.
J'embrassa la paume de cette même main en le retournant et le serrant contre moi. Ma tête contre son ventre, ses jambes entrelaçées avec les miennes.

-Je t'aime. Lui murmurais-je. Je leva le regard attendant sa réponse. C'est lêvres vinrent embrasser les miennes. Tout devenait de plus en plus passionné, la température monta d'un crant. Les vêtements s'envolaient au fur et à mesure éparpiller au sol.

Il se retourna doucement, le ventre contre l'herbe fraîche, les genous replier, me laissant une délectable vu sur l'integralité de son corps bien batit.