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Je tourne mon regard vers la traîtresse et cette dernière me regarde choqué de l'avoir dénoncé.
J'ai ri

Jælle : Salomé ?
Moi : Hmm
Jælle : (soupire)
Salomé : Bon... Euh... J'vais à la cafétéria
Jælle : D'accord

Elle se lève et sort de la chambre en nous laissant seul.
Ses yeux sont aussi rouge que la cravate que je porte sérieux sa ce voit juste avant que j'arrive elle faisais que de pleurer, elle me regarde et je prend place sur le sofa sur lequel elle est assise.

Jælle : Pourquoi t'es venu ?
Moi : Pour pas qu'tu soit seule
Jælle : Ben écoute j'suis avec Salomé donc y'a rien

Elle est totalement effondrée , dans son habitude des qu'elle me voit elle s'énerve mais là, la tristesse a pris le dessus sur son moral, j'aime pas la voir comme ça je vais même dire j'déteste.
Ses yeux se remplissent de larmes et elle se met à pleurer je m'approche d'elle pour la prendre dans mes bras.

Moi : C'est bon calme toi (en faisant un bisou sur ses cheveux)
Jælle : Alex j'ai peur ses jours sont déjà comptés (en pleurant)
Moi : Écoute ça peut changer à tout moment s'il ouvre les yeux
Jælle : Ils ont dit que...
Moi : Et qui a dis qu'il ouvrira pas les yeux ?

Elle secoue la tête gauche droite pour dire non.

Moi : C'est pas eux qui décide et c'est pas eux qui sont à sa place
Jælle : Hmm

Je la soulève en prenant sa tête entre mes main, mais même quand elle a le visage mouillé elle est mignonne c'est incroyable... bref c'est pas le moment.

Moi : Dis pas des trucs comme ça, il va s'en sortir...

Je lui dépose un baiser sur le front et elle esquisse un léger sourire.
Jamais je dis bien jamais je l'ai vu dans un état pareil, en même temps j'la comprend quand t'es à la limite de perdre un proche c'est plus que douloureux un sentiment inexplicable, surtout quand il s'agit d'un parent.

Salomé reviens avec des cafés à la main venant tout droit de la cafétéria, décidément elle veut nous tuer celle là.
J'ai jamais bu du café et j'en boirai jamais, toujours été fidèle au Nesquik et à Starbucks folle elle : les boissons chaudes chocolatées ou au caramel c'est la base point.

Moi : Lomé tu veux nous tuer ?
Salomé : Quoi encore ?
Moi : Tes cafés qui viennes de j'sais pas où là
Salomé : Ben d'la cafétéria t'es chelou toi
Moi : T'as nous a déjà vu boire du café ?
Salomé : Ben...
Moi : (rire) tu m'vénère
Salomé : Vous êtes trop compliqué aussi
Moi : (en lui lançant les clés de ma gova) tiens j'étais passé à Starbucks avant
Salomé : Juuuure !?

[1] « Une fille pas comme les autres » [TERMINÉE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant