__Mais arrêtez de prendre des photos bon sang ! Appelez une ambulance vite ! Cria celui qui maintenait la tête du jeune homme affalé sur le sol.
__Vous n'avez pas de coeur ! Mais comment pouvez vous assister à une scène aussi horrible et ne penser qu'à prendre des photos ? Vociféra une dame de la quarantaine qui semblait saisir un court numéro sur son cellulaire avant de porter celui ci à l'oreille.
__Mon examen mon Dieu ! J'espère qu'il n'est pas mort seigneur ! Je les ai vu emprunter cette route après l'avoir tué avec des coups de couteau. Dit un autre en indexant une petite rue que les habitants devaient sûrement connaitre vu la stupéfaction qu'on pouvait lire sur leur visage.
C'était un vendredi 20 avril aux environs de 06h du matin. L'ambiance était loin d'être joyeuse dans cette rue de la Médina. Un si bon matin à une heure où seuls ceux qui connaissent le sens du mot ponctualité ont déjà quitté leur toit prêts pour une journée de dur labeur. Le jeune homme fut agressé dans sa propre voiture sous le regard impuissant d'un étudiant qui devrait se rendre à l'université Cheikh Anta Diop pour un premier jour d'examen.
En effet, les malfaiteurs semblaient l'attendre car ils ont sauté sur sa bagnole ouvrant les portails de force avant de freiner brutalement jusqu'à heurter une chatte qui marchait lentement avec deux petits chatons qui venaient de naitre.
Une fois que la voiture s'immobilisa, ils ont commencé à lui assaillir des coups les uns plus violents que les autres jusqu'à se rendre compte que le jeune homme qui d'ailleurs n'essayait même pas de se débattre, commençait à perdre connaissance. Les deux agresseurs sortirent leur couteaux et commençaient à le transpercer sans relâche ni compassion. On aurait dit qu'il se défoulaient ! A voir le sourire vainqueur qu'ils affichaient à chaque poignard, l'on aurait dit qu'ils étaient inhumains.Le jeune homme qui ne ratait rien de la scène ne pouvait se montrer sachant que les malfaiteurs ne tarderaient à lui fermer la gueule définitivement voire éternellement. Néanmoins une fois que ces derniers avaient débarrassé le planché, il se précipita à alerter des passants afin d'aider ce victime qui était à deux doigts de quitter ce monde des vivants.
Il est claire que nous allons tous mourir un jour. L'on ignore le comment ni le quand mais ce dont on est conscient c'est que nous sommes tous de passage dans cette vie. Dans ce cas il serait bien de craindre le bon Dieu qui nous rappelle notre heure et non la mort en tant que telle.
La mort ! A un certain moment, l'on croit être insensible face à elle juste à penser au nombre d'être cher que l'on a eu à perdre. Mais elle est toujours une pilule très difficile à digérer lorsque les circonstances où la personne a dû partir sont injustes voire tyranniques encore mois lorsqu'elle nous atteint directement par le sang.
La mort dans l'âme, le coeur meurtri, un goût amer de la vie ne constituent que la partie visible de l'iceberg; tout ce dont on a envie dans de pareils moment c'est de couper les ponts avec le monde entier et s'enfermer dans sa petite bulle pour digérer une telle épreuve.(...)
****PDV DIJA
L'odeur du dissolvant me titille les narine perturbant ainsi ma respiration. La sinusite et l'asthme constituent un patrimoine dans ma famille. Je me souviens de ma soeur Racky que je fatiguais toujours lui disant qu'elle a été adopté du fait qu'elle ne souffre d'aucun de ces dites maladies.
Enfin je vais pouvoir recommencer mes prières, finie la période menstruelle. J'en profite toujours pour allumer mon mari croyant que ce serait un moyen de l'obliger à me voir d'un autre oeil que son objet sexuel. Car oui ! Mon mari ne rate jamais une occasion de me faire l'amour même sachant qu'il n'y a pas d'amour entre nous mais une fois qu'il aura terminer d'assouvir ses besoins bestiaux, l'ami revient à son état de nature, le Mame Mor brutal féroce et sans coeur finit toujours par refaire surface peu importe comment la nuit a été torride et pimentée.
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Unconditional {Terminée}
RandomDoux et amer à la fois, euphorique cela nous rend parfois; mais à la minute qui suit l'on est au bout du gouffre. AIMER et AMER sont voisin ils vont de pair, il sont comme complémentaires... je disais toujours que l'amour inconditionnel n'existe pas...