Maze partit prendre un café, sans doute lassé de l'incompétence du soldat. Mais après tout, apprendre à maîtriser une nouvelle technologie est très dure. Il vient à peine de se réveiller et on lui parle de téléphone portable, d'ordinateurs portable, de télévision à écran plat, de voiture égalant presque la vitesse d'un jaguar, de voiture fonctionnant à l'électricité. Mais, qu'est-il arrivé au monde qu'il connaissait ? On lui parle de réchauffement climatique, qu'est ce que c'est ? Il a fallu qu'il parte durant presque un siècle et voilà que les générations futures ont fait n'importe quoi avec le monde ! Dire que des milliers, voire des milliard de soldats sont morts pour permettre à la nouvelle génération de vivre dans un monde meilleur et ce sacrifice n'a servi à rien ! La guerre est encore dans le monde, rien à changé. On parle d'évolution mais lui, il appelle plutôt ça la digression. En son temps, les enfants jouaient à la guerre avec leurs amis, filles ou garçons, ils allaient au parc, lisaient des livres à la bibliothèque. Ils n'avaient qu'un téléphone et pas portable. Ils sortaient tout le temps, pas besoin d'avoir Fesse de Bouc, Astragram ou SlapCat pour savoir qui faisaient quoi. Ils avaient une télévision mais l'allumait très rarement, juste pour les enfants. Ils allaient au cinéma, et il y avait des publicités pour s'engager dans l'armée, ce que les gens d'aujourd'hui appellent la propagande. Mais une question demeurait sans réponse car, quelle était son époque ? Et d'où avait-il toutes ces connaissances sur le siècle précédent ? Ne trouvant point de réponses à ses questions, il tapa lentement ce que Maze lui a demandé de taper tout en continuant à penser à l'époque ancienne. Avant, ils n'avaient pas Interbet et ils devaient chercher par eux-mêmes les réponses. Maze revient, un gobelet de café dans chaque main, elle lui en donne un, mais quand elle voit avec quelle lenteur il tape, elle recrache le café qu'elle était sur le point d'avaler.
Elle soupira et le pria de la suivre.
« On a tous des faiblesses et des forces, dit-il en la suivant de près. Pourquoi ne pas savoir utiliser Interbête serait une faiblesse ?
- Parce-que, Internet est l'une des choses importantes dont tout le monde se sert. Il est aussi important que l'argent. Sans Internet, on serait perdu, on arriverai à rien, c'est aussi valable pour le Wi-Fi, pour l'électricité ou l'argent. Une force peut devenir une faiblesse, mais c'est que tout le monde oublie, c'est que souvent notre plus grande faiblesse peut devenir notre plus grande force.»
Et après avoir dit ces mots d'une grande sagesse, elle les fit pénétrer dans une salle aux vitres blanches. Elle le laissa seul quelques instants. Il regarda la salle et prit de fatigue, il s'assit sur le sol.
Maze revient quelques minutes plus tard, vêtue d'une combinaison moulante dont la fermeture se trouvait sur le devant, et non derrière. Par ailleurs, elle l'avait monté la fermeture jusqu'au haut. Mais, la combinaison étant moulante, on devinait parfaitement ses formes. Il se leva et se mit au garde à vous.
« Repos, sergent.
- Euh... A vos ordres, balbutia-t-il.
- Pfff, les mecs. Tous les mêmes. »
Il rougit, et passa une main dans ses cheveux longs et ne pût s'empêcher de regarder Maze qui, passant devant lui, alla poser quelque chose. Elle se pencha en arrière alors qu'il arriva. Il ne pouvait s'empêcher de regarder le fessier de la belle blonde. Celle-ci se releva, le sergent se mit à rougir fortement et il bégaya quelques mots avant de se donner une claque mentale. Elle leva les yeux au ciel et tendit une arme blanche au sergent, comme un couteau de poche. Hydra ne peut attaquer les personnes malfaisantes avec des couteaux, si ? Elle garda deux armes à feu qu'elle rangea dans des poches qui sont sur sa ceinture. Des lumières blanches s'allumèrent et aveuglèrent le soldat. Et sans crier gare, il se prit une chaussure a talons aiguilles dans la figure. Sous le choc, il faillit tomber mais un coup de pied balayette l'a aidé à tomber. Il était face contre terre et le sol se transforma. Il ressemblait à un chemin fait de pierres, de dalles. Il se releva, avec un peu de difficulté, et regarda autour de lui.
C'était un drôle de paysage. Il se trouvait dans une allée sombre. Il était habillé d'un drôle d'uniforme. Si sa mémoire ne lui fut pas défaut, il s'agit d'un uniforme de l'armée américaine au temps de la Seconde Guerre mondiale ! C'est pour ça qu'il garde des souvenirs d'une vie sans technologie... Et cette allée lui rappelait quelque chose. Il vit un jeun homme, maigrichon et blond mais son visage lui était inconnu. Le maigrichon se battait et disait a son agresseur : « Je peux faire ça toute la journée ! ». Alors le soldat s'approcha prudemment mais une tape amicale sur l'épaule l'informe que ce n'est pas ce qu'il doit faire. Il se retourna et vit Maze, habillée d'un tailleur blanc dont les trois premiers sont déboutonnés, ainsi qu'une jupe moulante rouge carmin et s'est chaussée d'une paire de talons hauts. Ses mains étaient recouvertes de gants blancs, ses cheveux blonds étaient coupés au niveau des épaules et étaient ondulés. Dans ses cheveux se trouvait un serre-tête noir mais quelques mèches retombaient sur son visage angélique. Ses yeux bleus étaient cachés par des lunettes de soleil et elle tenait une cigarette qu'elle passa au soldat.
« Il est temps de voir si tu sais te battre, sergent.
- Ta force, c'est tes connaissances en technologie. Quant à moi, ma force réside dans mon pouvoir de séduction.
- Ici, on parle de sex-appeal.
- Sex-appeal ?
- Tu es trop jeune pour comprendre. »
Il leva les yeux au ciel et alla protéger le maigrichon blondinet quand la version des années 40 de Maze le rattrapa. Elle lui prit le poignet, il se retourna alors qu'elle enlevait ses lunettes. Elle replia les branches des lunettes et les jeta à terre. Elle l'informa qu'il ne devait pas sauver le blondinet mais juste faire en sorte que son agresseur ne soit plus du monde des vivants. Le sergent opina et se dirigea donc vers l'agresseur du blondinet.
Il tapota l'épaule de l'homme, lui adressa un grand sourire avant de lui mettre un coup de poing dans la mâchoire, l'homme tomba, un filet de sang s'échappant de ses lèvres. Le sergent lui fit un coup de pied balayette et, lorsque l'homme se retrouva à terre, le sergent le prit par les cheveux, le colla contre le mur et lui asséna un coup de front contre le sien. L'homme tomba, le front au sang et le sergent n'arrêtait pas de lui donner des coups de pieds dans l'estomac. L'homme se leva, les deux mains sur son ventre et penché comme si il allait vomir. Le sergent lui prit le bras et le lui retourna afin de lui faire une clé de bras. L'homme cria de douleur, le sergent ne pût se résoudre à prendre la vie de cet homme, aussi mauvais soit-il. Alors, il lui arracha le bras et lâcha l'homme dont le bras avait été arraché. Il courrait, laissant derrière une rivière de sang. Maze l'applaudissait, et appuya sue un quelconque bouton car le sol redevient blanc ainsi que les murs. Elle portait de drôles de lunettes qui cachaient ses yeux et dont le verre est noir, fin et en rectangle. Elle portait des mitennes en cuir où des fils de toutes les couleurs s'entrecroisent. Elle enleva son casque ainsi que les gants. Elle défaisait sa queue de cheval et secoua ses cheveux blonds et, à présent raides. Elle lui sourit mais il fut de courte durée quand elle reçut un message.
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Hail Hydra ! ( Bucky Barnes FanFiction )
Hayran KurguMazikeen est un Démon. Son patron est le Diable, son nom est HYDRA.