Je fuis la réalité avec de la musique. A quoi bon ? Qu'est-ce que j'ai de plus solide ?
Et j'ai marché, marché. Puis j'me suis retournée, juste pour r'garder. J'me serai écoutée j'serai jamais rentrée.
J'ai le ciel qui m'tombe sur la tête.
Je me suis surprise à m'arrêter au milieu d'un chemin, et regretter. J'connaissais l'endroit que trop bien mais j'étais... Perdue.
Je ferai toujours en sorte que tu penses que tu joues moins bien que moi. Je te laisserai gagner pour mieux te briser, en même temps que moi.
Le temps brûle la douceur de nos souvenirs.
J'aime l'hiver avec un triple C et de la bonne musique.
J'écris quand j'ai des mots en tête. Parfois c'est le bordel, tout comme d'autres c'est le néant.
Because it's you. Because of you.
Je serai peut-être plus capable de me butter que de m'en remettre.
Parce que tu n'es personne mais mon monde.
J'ai compris que je recommençais à aller mal quand je me suis mise à pleurer sur des musique qui n'étaient pas tristes.
Avant de partir, je vous souhaiterais « bonnes nuits ».
Donnez moi un briquet et une bouteille de vodka.
Je te déteste presque autant que moi et j'aurai sûrement jamais le courage de te le dire, car au fond il y avait plus que ça.
Il m'a prise dans ses bras et les larmes me sont montées aux yeux. Ça, c'est frustrant.
J'avance les yeux rivés vers le sol, me cachant le plus possible, la musique trop forte. Et je prends sur moi pour ne pas me retourner.
Je perdais sérieusement foi en l'être humain. Puis j'ai appris à connaître certaines personnes.
C'est apaisant de voir qu'il reste des gens biens.
Tant que tu seras là, je le serai aussi.
T'es de ceux qui foutent des étoiles dans les yeux et du baume au cœur.
Le bonheur c'est pire que la drogue niveau redescente.
Tu auras fait couler mes plus belles larmes jamais versées.
Elle n'est pas partie, elle dort juste. Mais pour combien de temps ? Car son retour sera des plus brutaux.
Je ne veux pas le crier au monde entier, juste le chuchoter à ton oreille.
Je refuse d'associer une musique à un mauvais nom.
Pardon, mais des mots...
Tu es mon premier nous, alors oui, j'y crois.
Au final il avait raison, j'avais raison. Tout était vrai sauf les jolis mots.
Je suis faible. J'suis putain de faible et ça me dégoute.
Ça fait un bizarre mauvais quand t'es plus là...
Un après-midi les pieds sans le vide, à fumer et parler jusqu'au couché du soleil. Rester sous les étoiles, voir les couleurs du matin.
Tes désirs sont désordres.
À joncher sur le sol, un cœur sans battement dans la main droite.
Je serai toujours une petite fille qui a mal grandi.
« C'est pas les sujets le problème, ce sont les gens. »
« J'te suivrai toujours, des futiles conneries jusqu'au bout du monde. J'voudrai te montrer au grand jour mais nous sommes des personnes de l'ombre. »
Pourquoi les mots ne viennent que quand on va mal ?
Vous ne savez pas être inconscients. Espèces d'adultes.
09/08/2017.
