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Anissiaa
minissia - cible

J'ai avancé jusqu'à lui dans ma tenue, franchement il avait eu du goût le coco

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J'ai avancé jusqu'à lui dans ma tenue, franchement il avait eu du goût le coco.

Je suis venu devant lui et on s'est fait la bise

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Je suis venu devant lui et on s'est fait la bise. Purée j'avais envie de la galoche avec son costume la.

Azzedine : T'es magnifique.

Moi : Merci, toi aussi.

On s'est souris puis il m'a ouvert la porte. Dans la voiture c'était silencieux, personne parlait, personne se regardait.

Je regardais mes chaussures, ma robe, j'aime trop. Il avait bien joué sur ce coup là, quand j'ai reçu la boîte ce matin je me suis dis " wow " c'était une autre facette que j'avais de lui et j'aimais bien.

Azzedine : T'aime bien la robe ?

Moi : Oui, j'aime beaucoup merci Azz'.

Il a sourit puis s'est mordu la lèvre. J'ai souris aussi puis j'ai regardé par la fenêtre, je me demandais quel restaurant il avait réservé.

20:27

Nous étions en train de siroter notre boisson en attendant la carte des repas. Il me regardait d'un air différent, je ressentais tout son amour, je faisais que de sourire, j'étais intimidée.

De base, Azzedine et moi on ne pouvait pas s'empêcher de se touché, se tenir la main, qu'il mette sa main sur ma cuisse. Et la on était restraint, c'était dur mais il fallait que je garde la face.

Moi : Alors, comment ça se passe au taff ? Je vois que sur les réseaux sociaux ton entreprise tourne un peu partout.

Azzedine : Oui, franchement c'est cool. On a eu un partenariat avec Walid Sax ce matin, on en a un autre prévu la semaine prochaine. Sah, pour une ouverture je pensais pas qu'on allait percée aussi vite. J'suis content.

Moi : Je suis contente aussi que ton projet se réalise, on en a tellement entendu parler. Franchement c'est que du bon pour plus tard.

Trente minutes plus tard, les plats étaient enfin la. J'aimais bien la vu sur la grande roue des Tuileries et sur les pyramides du Louvre. Il avait fait fort ce soir.

Azzedine : J'suis vraiment content que tu sois avec moi ce soir.

Moi : J'avoue que je suis contente aussi, je ne regrette pas. Ces derniers jours on était dur pour moi tu sais, mais là je me sens bien.

C'est chaud de se sentir bien qu'avec la personne qui te fait du mal.

Azzedine : Si tu savais comment je regrettes Anissiaa. Jamais je t'aurai fais du mal volontairement, jamais.

Moi : Je m'en doute bien Azzedine.

Azzedine : Je suis vraiment désolé, sincèrement désolé. Tu me manque et je peux plus sans toi, ce dîner c'est ma dernière carte pour que tu me pardonne mais sah j'aurai du mal à te laisser partir. Il faut que tu me laisse une dernière chance Ani, laisse nous une dernière chance. Tu le regrettera pas, wAllah.

Moi : La actuellement, tu me manque aussi et mon futur je l'imaginais avec toi aussi mais ce que j'ai ressenti quand j'ai vu les
messages Azzedine je ne pouvais même pas le décrire. C'était comme de la tromperie pour moi et ce qui m'a le plus blessé c'est que tu lui parlais pendant que j'étais dans la même pièce que toi, c'est chaud ça.

Il a pas répondu et a commencé à jouer avec ses lasagnes, j'ai soupiré.

Moi : Actuellement je suis perdu, pour de vrai. Tu me manque mais je sais pas si je dois te redonner une chance, qui me dit que tu fera pas pire ?

Pour la première fois de la soirée, il a prit ma main dans la sienne, purée ça me fait du bien.

Azzedine : Je ferai jamais pire parce que je t'aime Ani, wAllah j'suis amoureux de toi de bz. J'ai merdé je sais mais j'ai compris qu'est-ce qu'une vie sans toi et j'veux pas de ça. Je t'aime comme un fou et je veux que tu sois à mes côtés pour une durée indéterminée.

C'était la phrase magique, son premier je t'aime. Je voyais toute la sincérité dans ses yeux, ça y est, j'étais aveuglé. J'avais plus aucun doute, plus aucune rancoeur.

Moi : Ça sera dur de te refaire confiance Az-

Azzedine : _ Me coupe, J'assumerai les conséquences de mes actes Anissiaa, je veux juste que tu dormes prêt de moi.

Moi : Je veux bien nous laisser une seconde chance Azzedine.

Il a entrelacé nos doigts puis m'a fait un grand sourire ce qui a provoqué le mien.

Azzedine : Si on serai pas dans un restaurant, je t'aurai galoche jusqu'à en perdre mon souffle.

Je sais pas si j'ai bien fais, si j'ai fais le bon choix mais j'ai écouté mon cœur, comme me l'a dit maman.

Et je ne regrettes pas.

Une simple commande Où les histoires vivent. Découvrez maintenant