Chapitre 16: Vérité

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La sonnerie... Quelle belle et merveilleuse invention, à la fois pour pouvoir prévenir d'un appel ou autre d'un téléphone, et à la fois pour pouvoir être sûr de ne pas loupé un appel ou message ou autre. Malheureusement, cette merveilleuse boite de conserve nommé "Téléphone" qui plus est, m'as réveillez d'un merveilleux rêve accompagné de ma douce petite amie, il a fini en morceau. Le seul truc que j'ai pu voir était: ........i♥.... Voilà. Ce qui vous l'avez devinez, m'as foutu le seum dés le levé du matin. (D'ailleurs noté l'incohérence qu'il est censé être pauvre mais qu'il à un téléphone ^^') Bref, après avoir chialé comme un bébé quelques minutes et avoir fait une minute de silence pour mon téléphone décédé en ce jour, je suis parti m'habillais et faire ma routine du matin, ensuite un petit chat tout mimi nommé Boule de poile puante... Bon ok il s'appelle pas comme ça mais vu comment il pu la mort ! Enfin bref, comme je disais, ensuite un petit chat tout mimi, tout puant nommé Grigri, bon vous avez compris pourquoi il est puant je suppose, c'est le chat gris que je ne vois jamais normal, mais le plus dégueux dans cette histoire, c'est que Mowgli mon chat que j'adore de tout mon cœur, lèche ou plutôt nettoie ce chat gris tout puant. C'est IMMONDE ! ENLEVER MOI CA DE MA VUE NON DE DIEUX ! Franchement je bénie ma mère de ne pas m'avoir formé en tant que chat. J'aime être un homme tout compte fait. Nan parce que bon dés fois quand tu vois un chien tu te dit bon lui il dort, il bouffe, il dort, il chie, il bouffe, il dort... Enfin bref, la belle vie mais quand j'y pense a tout leurs défauts, je pense qu'être un homme est tout à fait honorable. Bref j'en étais où moi ? Ah oui, donc je vais dans la cuisine et me prépare à mangé, ma mère ne rentre que demain donc je suis tranquille, surtout qu'aujourd'hui c'est "Gros flemmard ne bouge pas son cul de la journée". Surtout qu'avec un téléphone en miette, personne peux m'emmerder. Risquerais plus qu'à ce que ma mère m'appelle pour me dire qu'elle à eu un accident et... merde ! MERDE MERDE ! C'est vrai en plus ! C'est.... Faux en faites ! J'vous ai eu. Bref donc je me place dans le canapé et commence mon petit bol de céréale en mangeant. Environ 1 demi-heure ensuite, on toque à la porte, je me lève donc avec flemmardise pour ouvrir, et une fois avoir ouvris, je regarda au dessus d'une personne de petite taille sachant très bien qui c'était.

Rugg: Bah y'a personne ? Tant pis ! Fis-je un sourire en coin.

Je commence à refermer la porte et Karol me frappe et me poussant pour entrer.

Rugg: Oh ! Mince ! Je t'avais pas vu ! Fis-je en pouffant de rire.

Karol: Connard. Fit-elle en s'asseyant dans le canapé.

Elle croise ensuite les bras contre sa poitrine et fait une mine boudeuse. Je m'approche donc d'elle et n'ai plus qu'une solution à mon problème.

Rugg: Très bien... Cette jeune demoiselle, très jolie et très mignonne nue va pouvoir toucher mes cheveux ! Lançais-je en souriant fière de ma bêtise.

Karol: Connard ! Lance t'elle en mettant ses mains dans mes cheveux.

Elle commence à tout cafouiller pour se venger, mais moi je profite juste de voir un petit mieux se petit bout de mignonnerie rigolait. Ensuite elle reprends son sérieux.

Karol: Pourquoi tu répondais pas ?! Demande t'elle.

Je fais les gros yeux. Merde c'était donc elle qui as ruiné mon téléphone ?!

Rugg: Euh... J-j'ai du euh... Oublié mon téléphone ! Fis-je en souriant bêtement.

Karol: Tu l'as cassé ? Demande t'elle en plissant des yeux.

Trop forte.

Rugg: Ok j'avoue. Lançais-je en levant les mains en l'air.

Karol: Bon viens chez moi s'il te plait ! Fit-elle avec les gros yeux.

Rugg: Mais Mowgli j'avais décidé de faire une journée pépère ! Fis-je en perdant mon sourire.

Karol: S'il te plait, s'il te plait ! Tente t'elle.

Rugg: C'est non ! Fis-je en rallumant la télé.

Je recommence à regarder la télé pendant qu'elle part toute triste. Fuck. J'suis trop galant comme mec, rien qu'à la voir comme ça je change d'avis. J'aime pas la voir triste. Du coup nous partons pour chez elle, une fois arrivé et avoir passé le socle de la porte, tout les mauvais souvenir me reviennent en tête, et je recule inconsciemment, son père fait de même.

Karol: Il se passe quoi ? Demande ma petite copine.

Rugg: Je... Je n'arrivais à rien prononcé.

Mdk (Mère de Karol): Pourquoi tu t'en vas alors qu'on parlé du problème de ta fille ! Lance t'elle en arrivant dans le couloir d'entré.

En voyant Karol, elle fait les gros yeux et commence à stressé.

Karol: De quoi tu parle maman ? Demande t'elle inquiète.

Pdk (Père de Karol): Eh bien voilà, tu as un problème qui fait que normalement tu ne peux pas avoir de progéniture, mais il y avait un moyen de peut-être te sauvé, d'où le fait que Ruggero et toi l'avais fait si tôt. Lance t'il d'une traite.

Wow. La vache ! Sa pour être direct, c'est direct. Je regarde Karol qui à les larmes aux yeux qui commence à tombé puis elle part dans sa chambre. Je regarde ses parents avec tristesse et part à l'étage où Karol s'y trouve. Je toque à sa porte, elle ne réponds pas et je m'incruste dedans, la vois pleurer dans son lit, je m'approche d'elle et me pose à côté d'elle.

Rugg: Chui désolé, j'aurais dut te le dire... Fis-je en baissant la tête.

Aucune réponse.

Rugg: Karol... Parle moi s'il te plait j'men veux... Fis-je en posant ma main sur ses cheveux pour les caresser.

Karol: Connard ! Bâtard ! T'en veux d'autres ?! Crie t'elle en bougeant ma main.

Je prends Karol et la fait basculé sur le côté. Elle se retrouve la tête sur mes genoux, je replace ma main au même endroit et l'autre sur son ventre.

Rugg: Je sais j'ai était con ! Fis-je.

Karol: C'est clair ! Lance t'elle en me lançant un regard noir.

Rugg: Ton père m'en avait parlé, mais je ne voulais pas le faire, il m'as convaincu et ensuite lorsque nous l'avons fait, j'ai regretter de ne pas t'avoir dit la vérité et je savais que c'était trop tard pour te la dire... Fis-je en baissant la tête encore une fois.

Karol: T'as apprécier ? Demande t'elle gentillement.

Je fus tout d'abord surpris puis un sourire niais se dessina sur mon visage d'ange. "La modestie".

Rugg: Ouais... Fis-je simplement.

Elle mis sa tête contre mon ventre.

Karol: Il était pas trop tard, c'est de la faute de mes parents et pas la tienne ! Dit-elle contre mon ventre.

Rugg: Tes parents voulaient t'aider. Fis-je.

Karol: En me le cachant. Fit-elle simplement.

Pas faux, je n'ai rien à répondre à cela. Je la laisse donc s'endormir contre moi, puis une heure après, je descends sans elle et m'en vais de chez elle pour retourner à ma demeure où ma mère s'y trouve.

Rugg: Maman t'es déjà rentré ? Fis-je surpris.

Mère: Oui Ruggero, va dormir t'as l'air épuisé ! Fit-elle en rigolant.

Rugg: J'le suis ! Fis-je en souriant.

Je pars ensuite dans ma chambre où je m'endors très facilement.

Le Lycée [Ruggarol]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant