~Saut dans le temps~
Je descends les escaliers pour rejoindre le salon. Je ne sais pas si Zack est levé mais si la réponse est non, vaut mieux en profiter. Je l'aime beaucoup, mais qu'est-ce que j'ai envis de lui foutre sa tête de chieur dans du foin.
Zack : Salut Baby Girl.
Non, c'est lui est ce surnom horrible. Ça le tuerait de m'appeler par mon prénom ? Mes parents me m'ont pas donné un prénom pour faire jolie hein.
Je me retourne pour faire face aux noireaud sexy du matin que je connais si bien : torse nu, pantalon sous ses fesses, ce qui me laisse une vu sur son caleçon et cheveux en bataille.
Soudainement il claque des doigts devant moi. Je le regarde toute rougis, enfin dans mon imagination parce que ça arrive rarement. Il me contourne et s'en va vers la cuisine.
Zack : Quand t'auras fini d'me mater tu viendras prendre le dej'.
Je prends mon visage dans mes mains. Et dans ta gueule ma petite.
Ses mains viennent prendre les mienne pour me dégager le visage. Je le regarde et son visage est si près du mien. Eh dégage sale taré je vais pas tenir longtemps !
Il rit et va à table. Il me fait signe de le suivre. Je m'installe à côté de lui. Je bave quand je vois ce qu'il a préparé. Je prends un croissant dégoulinant de Nutella et je le foure dans ma bouche, je pousse un gémissement grave.
Moi : Ce truc, mmh, c'est la vie putain.
Zack : Sauf que tu dis ça a toute sorte de malbouffe.
Il me regarde. Blasé, comme tout le temps. Jamais je n'ai vu le sosie d'Eren sourire, enfin, si, mais par pour être heureux ou autre sentiments joyeux. Il est tout le temps renfermé et il m'a l'air super réservé, depuis le lycée il est comme ça. Je baisse la tête.
Zack : Ça va Noah ?
Mon prénom enfin sorti de sa bouche. Je souris et relève la tête pour le regarder. Il me regarde bêtement sans aucunes expressions. Sacré Zack.
Plus tard.
Je fini de laver la dernière assiette et la met de côté. Je sors de la cuisine pour tomber direct sur le salon où est mon colocataire sur sa playstation. Je m'assois près de lui et regarde à quoi il joue, c'est violant.
Je m'approche de lui en le regardant, mais, on peut le dire hein, il s'en bat les couilles.
Je fait ma première approche. Je pose ma main sur sa cuisse. Il regarde ma main puis se reconcentre sur son jeu. Bon, je ne vais pas te laisser gagner.
Je passe une main dans ses cheveux. Aucune réaction ? Sur ? Bon. Je pose ma tête sur son épaule en accrochant son bras. Je suis a deux doigts de pousser un yamete kudasai.
Rhâââ!! Il m'énerve, pourquoi moi je dois tout arrêter pour lui et lui non ? Je touche sa joue, une fois, deux fois, trois fois, puis je continue en disant son prénom toute les une seconde.
Moi : Zack...
J'abandonne. Je pose ma tête légèrement sur son épaule et juste, je le regarde jouer. Je vois que sa console s'éteint. Il retire son casque et passe un bras autour de mon cou et m'embrasse la tête.
J'ai gagnée <3
Je le regarde, il me regarde, il approche ses lèvres des miennes et... Un bruit de porte, oh non ses parents.
M : Zackyyy! Noah chérie!
On s'éloigne l'un de l'autre et Zack se met à jouer alors que sa play est éteinte. Je me lève et vais voir ses parents. Et, il ne sont pas seul. Il sont accompagnés d'un jeune homme, très, charmant. Le sosie Mikey. Oh non, je suis encore en pyjama, je cours pour rejoindre les escaliers mais je tombe en chemin.
M : Zacky, Noah venez.
Je me lève tant bien que mal mais je me suis fait grave mal en tombant. Je me lève boitante. Je vois Zack devant moi s'apprêtant à se lever du canapé.
Moi : Je me suis fait mal.
Zak : Arrête de pleurnicher et ramène tes fesses.
Je marche vers la cuisine boitante et m'assois à côté du garçon. Il est blond, il a l'air énergétique et pleine de bonnes émotions, ouais, le contraire de l'autre gars quoi. Justement, celui-ci croise les bras et sort son téléphone.
M : Noah je te présente Justin, c'est-
Zack : -Mon stupide frère.
Pardon ?!
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b a b y g i r l. réecriture.
Romancec'est ma fiction la plus ancienne, j'ai récemment décidé de la réécrire et je m'amuse bien à caler des refs. j'étais en sixième quand je l'ai écrite donc faut pas chercher la logique de l'histoire- 𝖳'𝖺𝗂𝗆𝖾𝗋 𝖾𝗌𝗍 𝗎𝗇 𝗃𝖾𝗎 𝗉𝖾𝗋𝖽𝗎 𝖽'𝖺�...