Les démons du passées

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~Chapitre pas si joyeux~

Lena : Ouai, il est partie en me laissant toute seul. Il n'a même pas essayé de m'expliquer.

Loren : Franchement que les garçons sont horribles! C'est pour ça que je veux rester célibataire toute ma vie.

Moi : Tu dit ça mais c'est pas toi qui trouve tous les garçons beaux gosses de la rue et qui s'imagine sa vie avec?

Hugo : Pitier les filles, pourquoi parlez de garçons à une soirée alors qu'on peux bouffer?

Hugo prends une énorme part de gâteaux et le met dans sa bouche. La chantilly dégouline de sa bouche à en tomber sur son t-shirt, éclat général de tout le monde. Il boude et lèche la chantilly sur son haut.

Justin : Sinon Lena, tu es en terminal, Il me semble que tu l'avait dit non?

Lena : Ouaip, je suis en terminale à Hogs Forb? Comme Noah.

Noah : Sauf que moi Lena, comparée à toi, je ne vais plus à l'école.

Hugo : Et pourquoi ça? J'étais pas au courant moi, on me cache des choses à ce que je voie, je retiens.

Il croise les bras douteux. Il lance des regards mystérieux à tout le monde. Il croit vraiment qu'on lui cache des choses? Tu parle, on peux rien lui cacher, même quand on parle en privée il s'incruste, à croise qu'Hugo c'est le pote chiant.

Moi : Mais nan Hugo, je l'ai dit à personne. Faut que t'arrête de croire qu'on te cache des trucs.

Loren : Alors vas y, raconte nous.

Noah : Bah en fait j'ai arrêtée pour m'occuper de ma grand mère. De là, je pensais faire de la musique, car ma grand mère a l'époque jouait de la guitare et du piano, elle m'a apris et j'avais le rêve qu'un grand producteur m'emporte dans une carrière!

Je voie les petits sourires de mes amis, ils sont émue de se que je raconte, il savent pour ma grand mère. Lena glisse ses doigts dans les miens et m'écoute attentionnée.

Moi : Mais ça c'est quand j'étais jeune, j'ai fini par comprendre que se que je voulais c'était chanter et jouer rien que pour elle. Chaque nuit avant qu'elle s'endorme je jouais, à chaque fois qu'elle se réveillait je jouais, et ainsi de suite.

Je baisse la tête et ris. Je repense atout ces moments passés avec elle, si aujourd'hui je sais faire du piano c'est grâce à elle, si je chante juste, c'est grâce à elle, si je sais comprendre des classics de la littérature c'est grâce à elle. Si je suis moi c'est grâce à elle.

Moi : Ma grand mère c'était un peu comme la mère que je n'ai jamais eu. Car la mienne sans fiche complètement de ma personne. Il paraîtrait même que je suis un "accident". Dès qu'il m'ont eux il mon confier à ma grand mère et se sont cassés, je pense même que je suis née sous X.

Moi : Un jour, je me suis disputée avec elle parce que je voulais aller au festival de Buenos Aires, on m'avais invité. Elle disais qu'on était bien toutes les deux et qu'elle avait besoin de moi.

Ma voie s'étouffe peu à peu, mes paroles se transforme en vulgaire sanglot. Ma gorge me serre.

Loren : Chérie t'es pas obligée de continuée. Te fais pas de mal.

Moi : Je suis allée trop loin pour m'arrêter, et puis, je mérite de me faire du mal!

Je suis comme un gros poids, je l'ai toujours été, je suis née pour tout foutre en l'air.

Moi : Elle m'avait prévenue! Le jour même au festival mes parents m'ont appellés! I-il m'ont dit qu'elle avait glissée dans la cuisine et q-qu'elle s'est g-gravement blessée!

J'en pouvais plus, je cris, je pleure . Mes amis ne sais plus comment m'arrêter, ne m'arrêter pas. Loren demande pardon d'avoir aborder le sujet. Justin essaye de me prendre dans ses bras pour m'apaisser.

Moi : Je suis partie la voir à l'hôpital! Je lui ai demander pardon!

Je regarde Justin les yeux troubles, il les essuie en me disant de me calmer.

Loren : C'est pas te ta faute tu-

Moi : Si justement c'est ma faute! Je l'ai regarder mourir devant mes yeux, j'ai rien pu faire! Je lui demandais pardon en la regarde, elle souriais, elle me disais de continuer de faire se que j'aimais faire, de continuer la musique mais je ne pouvais pas.

La douleur dans mon cœur c'est soudain apaisée. Ça fait du bien de se confier, je me liber d'un lourd poids que je tenais depuis des mois. Je pose la mains sur mon cœur, comme pour vérifier si il brûle encore.

Moi : Et j'ai entendue ce bruit...
Le bruit de son rythme cardiaque qui avait disparue...
Il y avait juste un long bruit de machine infini...
Tout ce que j'entendais c'était, bip, sa voie c'est éteinte et mes rêves aussi.

Hugo : On est desoler Noah on sais que c'est dur pour toi.

Noah : Bien sûr que c'est dur, de ce dire que la seul personne qui était la pour toi est partie, par ta faute!!

Noah : Je suis tombée en dépression, je me suis mutilée!

Je remonte la manche de mon pull, montrant à mes amies les traits de la morts, ses traits qui te dit que tu es faible. Les cicatrices sont là, et elle vont rester. J'etait un bord du gouffre, et je crois que j'étais capable de mis jeter.

Moi : On m'a mis dans un hôpital psychiatrique, on devait me soigner car il disais que j'étais paranoïaque et dépressif! Mais il ne pouvais pas enlever ça! Il me disais que je n'avais rien avoir dans la mort de ma grand mère! Si c'était moi! C'était ma faute!

Moi : J'ai arrêtée la musique, plus jamais je chante, plus jamais je touche à une guitares ou a un piano. Et puis, ma tante et venu me voir, elle m'a pris sous son aile et ma aider à me retrouver. J'ai fait du sport, j'ai rattrapée tout mes années de scolarité perdu j'ai essayer de communiquer avec le monde extérieur. J'ai essayé de me faire des amis. Je me suis enfin senti vivante et bien dans ma peau, mais je sais qu'il y avait encore ses démons qui me hantent.

Moi : Et puis, elle m'a mis dans une famille d'accueil. Et...Et je vous ai vous maitenant, ma famille, vu que la mienne s'en fout de moi.

Loren : On est là pour toi.

Il me serre tous dans leur bras, je crois voir même mes amies pleurer. Il fallait qu'avec eux, je me retrouve, qui je suis vraiment, il faut que j'essaye de chasser mes démons du passer, pour enfin retrouver la sérénité.

♡ Courage Baby Girl ♡

b a b y  g i r l. réecriture.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant