Demande de...

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Ce que je ne savais pas encore, c'est que le lendemain, j'allais connaître ses questions et que celles ci allait vite me faire changer d'opinion au sujet de William. Enfin, c'est ce que je croyais.

Le lendemain matin, je fut réveillé par quelqu'un qui frappait à ma porte.

Je me lève pour aller ouvrir.

Comme par hasard, c'est William.

Il entre.

Il porte une boîte qu'il dépose sur mon bureau et, sur celle ci, une lettre qui m'est adressée.

Ensuite, il repart.

Il ne m'a même pas dit bonjour cet imbécile! Un peu de respect quand même.

Bon c'est peut être bien comme ça car je n'ai aucunement envie de lui parler.

Je prend la lettre, l'ouvre et commence à la lire.

Chère Raina,

C'est aujourd'hui que tu va devoir me donner ton accord pour trois demandes.

Pour que tu sache quand tu devera me dire "oui", je vais, au moment donné, te faire un clin d'oeil. Je sais, ça paraît absurde mais je ne tiens pas à ne pouvoir t'adresser la parole qu'à trois reprise pendant cette journée.

A 10h, je t'attend dans le hall d'entré. Tu trouvera des vêtements adéquat dans le carton ci joint.

William

Qu'entendait il par "demande"? Je n'en sais rien pour l'instant et je crois que c'est mieux comme ça. Arrêtons d'y penser sinon, je vais me faire des idées!

Bon, voyons ce qu'il y a dans ce carton!

Tiens tiens, une robe bleu claire accompagnée de haut talons de la même couleur. Et également de bijoux "plus ou moins" blanc.

Après avoir enfilé les vêtements et m'être coiffée et maquiller avec l'aide de quelques servantes (Je suis une merde dans ce domaine, bref...)Je descend dans le hall. J'y trouve William, habillé en costard... Quel ne fut pas le choc pour moi de le voir habillé comme ça. C'était tellement drôle!

Bon, je me suis empêchée de rire car, ça ne se fait pas...

Ensuite, on est parti je ne sais où.

Quand on s'est arrêté, ça devait faire au moins deux heures qu'on roulait.

- William?

- Quoi?

- On va où?

-...

- Mais répond!

- Tu verras!

- Non, dit moi maintenant! Dit je sur un ton des plus énervé, quoi, c'est vrai, qui voudrait faire deux, trois ou qui sait peux être quatre heures de route pour aller dans un endroit qui vous est inconnu et avec une personne avec qui on ne peut pas parler sans se gueuler dessus! Moi ca m'énerve en tout cas!

- Non

Pour finir, je laisse tomber car je sais qu'il ne me dira rien de plus et me met à bouder.

Entre temps, on était repartit et on venait de se "ré" arrêter.

On était devant une grande bâtisse blanche, je dois avouer qu'elle était superbe.

Moi, comme j'était toujours dans une attitude boudeuse, et que je voulais bien le faire ressentir à William, je faisait comme si plus rien n'existait autour de moi.

Et c'est comme ça que je ne me rendis même pas compte d'où nous nous trouvions. Et par dessus le marché, je m'en fichait un peu.

C'est seulement quand une homme pris la parole que je daigné bien lever la tête, la je remarqué que William me tenait la main.

J'ai bien essayer de lâcher la sienne mais rien à faire.

Je n'écoutait pas l'homme car j'était bien plus concentrée sur essayer de comprendre ce qui m'arrivait.

C'est William qui répondit à ma question en prenant la parole. Il prononça ces mots comme si c'était les mots les plus importants de toute sa vie, il dit;

- Oui, je le veux.

Et la je compris. Je le regardait bouche bée.  Et c'est comme ça que je remarqué qu'il venait de me faire un clin d'oeil.

Non, je n'y croyais pas. Comment est est ce possible? Comment pouvait il me faire ça?

L'homme m'adresse la parole, je n'avais même pas besoin de l'écouter pour savoir ce qu'il disait, et comme j'avais passé un pacte avec cet autre imbécile je fus obligée de répondre la même chose que lui, je dis alors ses mots avec sérénité, je ne sais pas pourquoi j'avais parlé avec sérénité. Mais quoi qu'il en soit, William était ravi. Moi pas.

Le moment que je redoutais le plus vint.

L'homme repris la parole;

- Vous pouvez vous embras...

William n'avait même pas attendu que l'homme finisse sa phrase pour poser ses lèvre sur les miennes et m'embrasser fougueusement. J'était terrifié. Pourquoi? car au moment où nos lèvres on été en contact, ses yeux qu'il avait gardés ouvert ont changé de couleur. Il sont passé du brun noir habituel à un bleu de la même couleur que ma robe. Comment est ce que ça se faisait?

J'allais bientôt connaître la réponse à cette question.

- Merci Raina, tu m'a délivré!

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Excusez pour le retard... j'ai eu beaucoup de choses ses derniers jours...

Je tenait aussi à vous dire que je pense que c'est un des dernier chapitre de "Raina"...Il y en aura encore de sûr un et peut être, si je n'ai pas tout dit dans le suivant, un autre donc en tout ce chapitre est soit l'avant dernier ou l'avant avant dernier.

Merci vraiment beaucoup a toutes les personnes qui mon soutenu au cour de cette histoire!

L.

RainaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant