Derrière la porte

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Lorsque je m'apprêtait à le mordre. Il enfonça ses longues canines dans mon cou. Prise par surprise, je ne pu riposter à l'instant même mais, mieux vaut une fois que jamais. C'est alors qu'à mon tour je planté mes canines dans son cou qui semblait avoir une peau extrêmement tendre.

Pour mon plus grand bonheur, il fut surpris et, pris au dépourvu, il lâcha sa prise, donc moi en l'occurrence.

Je m'éloigne vivement de lui pour ensuite m'élancer vers la porte qui était restée ouverte.

Là, une course effrénée commence. Je slalome entre les meubles peuplant le long corridor. Je bifurque subitement pour essayer de semer William.

Inutile car il connaît cette tour par coeur.

J'essaye quand même de me cacher à une intersection entre deux couloirs.

Des pas s'approchent, très calmement. Il ne fallu pas attendre longtemps pour entendre la voix de William.

- Je sais que tu est la, ma belle! Et inutile de t'enfuir car cette propriété est la mienne depuis des lustre et que donc je la connais mieux que quiconque.

-...

- C'est ça, fais la muette! De toute façon, si je plante mes canines dans ton cou, je suis sûr que tu ne pourras pas t'empêche de crier!

J'étais horrifiée à cette pensé, il m'avait déjà assez fait souffrir comme ça.

C'est alors que je butte contre quelque chose pendant que je reculait le long du couloir.

Mais qu'est ce que c'est???

Une poignée. Étrange. Une poignée n'a rien faire juste en dessous d'une lampe...

Mais, ce ne serai pas par hasard une poignée du même style que celle calfeutrée au fond du tiroir du bureau dans la chambre??? Oui!

Cette fois, sans hésiter je la saisi à plaine main pour l'abaisser.

A ma grande surprise, tout d'abord, rien ne se produisit, puis, lentement, le mur commença à coulisser le long du couloir pour laisser place à une porte en bois sculpté.

Je m'apprêtait à saisir la poignée de celle ci pour l'ouvrir et découvrir ce qui s'y cache derrière, quand un puissante main se posa sur la mienne situé sur la poignée.

Surprise, je fi un pas en arrière et me cogna contre quelque chose de solide. J'étais maintenant appuyé contre le torse de William qui en avait profité pour passer son autre bras autour de ma taille.

J'étais coincé. Et pour de bon cette fois!

Je n'avais donc d'autre solution que de laisser William mener la danse.

Il approcha lentement son visage de mon cou.

J'était horrifié!

- Arrête s'il te plaît...

À mon plus grand étonnement, il ne me mordit pas. Il pris seulement un malin plaisir à enfouir son visage dans mon cou de sorte que je sente bien sa respiration.

Je ne savais pas ce qu'il allait faire ensuite, allait il quand même me mordre?

Il ne le fit pas. Je fus soulagé qu'il retira son visage de mon cou.

Par contre, son bras, lui, n'avais pas bougé d'un centimètre.

A cet instant mon coeur s'accélère car, il commençait à appuyé sur la poignée de la porte pour l'ouvrir.

Celle-ci s'ouvrit avec un grincement sinistre laissant derrière elle, une vaste chambre. Mes yeux commençaient à peine à s'habituer à l'obscurité lorsque ce que j'aperçu m'arracha un cri de stupeur.

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Voilà la suite. Veuillez excuser mon retard mais on a changé deux trois jours de suite de camping et aucuns d'entres eux n'avait de Wifi...

Autre petite info, je ne serai pas là la semaine du 3 au 9 car je par en camps et je ne pense pas qu'il y aura du Wifi... donc je ne pourrais pas publier cette semaine...dsl

RainaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant