Les Coups du Destin: Tome 1 ( Casanova Family)

Chapitre 30

Rhomezia.

PDV Eduardo

Ça faisait plus de trente minutes qu'ils étaient partis et moi j'étais assis sur le lit.

Le blanc était une couleur qui exprimait la joie, la paix et la douceur et c'était tout mon contraire.
Bon je finis par mettre un pantalon blanc et une chemise blanche.

★★★

- Papa, maman, Lara, Lucinda, oncle, Ethan, croient moi, votre mort ne restera pas impuni, le responsable de votre mort payera le prix fort, dit Alexandro.

J'avais oublié à quel point on était rancunier dans ma famille.

" Votre mort ne restera pas impuni... ''

- oui, elle ne restera pas impunie, mais s'il faut que j'en paye par ma vie, j'y veillerai personnellement papa.
Lucinda, fais-moi confiance, ma sœur, je vengerai ta mort, dit Alfredo.

Je déposai les roses sur chacune des tombes avant de me retirer.

PDV Alexandro.

On rentra au palais et j'aperçus la silhouette de Marly près de la grille en train de s'entretenir avec l'un des gardes.

La voiture entra et le chauffeur s'arrêta prés des marches.
Je descendis au même moment que les trois autres.

Je fixai la grille et nos regards se croisèrent.

- faites la entre, ordonnai-je au garde qui venait de m'ouvrir la portière.

La grille s'ouvrit enfin et elle entra.

- c'est qui ?, Me demanda Enzo.
- quelqu'un allez m'attendre à l'intérieur, j'arrive.

Heureusement que ce n'était pas Eduardo.

- hum.

Je descendis les marches et je la rejoins.

- bonjour
- bonjour Alex... Non..... majesté, dit-elle.

Elle baissa timidement ses yeux avant de rougir.

- pas de formule, Y a-t-il un problème ?
- non, c'est juste je voulais te remettre ça, me dit-elle en me rendant ma montre.
- ma montre ?!?!?

Ah oui je l'avais oublié chez elle.

- tu avais oublié chez moi et je tenais à te le remettre donc voilà.

C'était gentil.

Je repris ma montre et vis une silhouette m'observer depuis l'une des fenêtres de l'étage.

Eduardo.

- Marly, demain je viendrai te chercher, j'ai quelques choses à te montrer.
- d'accord bye et bon courage.
- merci.

Je la quittai et je rejoins les autres dans le salon.

- elle est très belle non ?, Me demanda Eduardo d'un ton neutre.

Si ça venait de lui, il y a de quoi s'inquiéter.

- pardon ?, Fis-je.
- très belle la juge

Mieux valait éviter le sujet.

- on doit parler des choses sérieuses alors range tes blagues pour plus tard.
- vos désirs sont des ordres, majesté, fit-il en posant son verre.
- à toi l'honneur, me dit-il.
- pour aujourd'hui je te cède ma place, car à voir tu as beaucoup à dire par rapport à moi.

PDV Eduardo.

- à voir tu as beaucoup à dire par rapport à moi.

Il me cherchait, mais je ne tomberais pas dans son piège.