Les Coups du Destin: Tome 1 ( Casanova Family)

Chapitre 31

- docteur Michel, dis-je.
- mademoiselle McCartney c'est ça ?, Me demanda le docteur.
- Oui, docteur, comment va-t-il ?
- il est encore faible, mais ça va mieux.
- docteur est-il souffrant ?, demandai-je
- désolée mademoiselle, mais je ne peux rien vous dire.
- le secret médical, dis-je
- oui exact, mais vous pouvez aller le voir, il est encore inconscient.
- d'accord merci.

J'entrai dans la chambre et le trouvai endormi sur le lit avec plein de câble connecter à sur lui.
Je me mis sur la chaise qui se trouvait près du lit.

J'avais vraiment eu peur pour lui, c'était vrai qu'il ne méritait pas ma pitié après toutes les atrocités qu'il m'avait fait subir, mais je lui devais la vie, il m'avait sauvé pendant qu'il pouvait laisser ses hommes abusés de moi.

- où suis-je ?

Je me levai vite et me précipitai vers le lit.

Il me regarda et sourit.

- Stella ?
- oui.
- pourquoi pleures-tu ?

Je passai rapidement mes mains sur mon visage pour sèches mes larmes.

- rien.
- tu étais inquiète pour moi ?
- Oui beaucoup
- je suis solide cara

-je sais

- je t'ai manqué ?

- tu viens de te réveiller et je crois que tu as dormi tellement et tu commences à délirer.
- peut-être peut-être
- es-tu souffrant ?
- pourquoi ?
- eh ne me prends pas une idiote, tu as perdu connaissance en pleine journée, tu as fait plusieurs fois des arrêts cardiaques dans l'ambulance...
- je te demande pardon ?
- tu as fait des arrêts cardiaques quand on t'amenait à l'hôpital, heureusement qu'on était dans une ambulance, on t'a fait plusieurs des massages cardiaques dans l'ambulance, c'est grâce à ça que tu es encore en vie, tu comprends.

Les larmes redoublèrent encore et encore sur mon visage.

- Stella ne pleure pas.
- le docteur a dit que tu es hors de danger maintenant.
- merci Stella et tu peux appeler Sam et pour qu'il vienne nous prendre je déteste cet endroit.
- comme tu veux.

Le docteur entra.

- Eduardo Dantès Casanova, je devrais ajouter aussi Angelo, dit le docteur avec humour.
- docteur Michel, dit Eduardo.

Alors comme ça il connaît le médecin.

- comment te sens-tu ?
- faible, fatiguée et la suite, vous connaissez, pas besoin de vous faire un dessin.
- tu dois te reposer, c'est obligatoire et prendre les médicaments.
- ne comptes pas sur moi pour respecter tout ça.

Le docteur se tourna vers moi.

- mademoiselle McCartney vous allez devoir veiller sur lui, je vais vous faire une liste pour vous indiquer ce qu'il faudra.
- d'accord, répondis-je.

PDV Alexandro.

- bonjour Marly
- bonjour
- prête ?
- oui attend je prends mon téléphone et j'arrive.

***★★★***

- waouh, c'est grand, dit-elle

Elle s'avança vers le vieux château.

- on dirait ceux des comtes, c'est magnifique.
- onze ans plus tôt, c'était une véritable merveille, maintenant elle a perdu son éclat, c'était le château de mon père.
- je parie que tu l'as repris après sa mort.
- non, je voulais le détruire, mais j'ai jugé bon de le transformer en musée.
- pourquoi souhaitais-tu détruire une telle merveille ?
- tu te rappelles m'avoir demandé pourquoi toutes les lois sont récentes.
- oui je m'en souviens.