Chapitre 9

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Commissariat!!!!

- pourquoi l'ont-ils arrêté ?
- je l'ignore, vers treize heures, elle était sortie avec Angela et vers dix-sept heures, elle m'appela depuis le commissariat en train de pleurer, elle m'a dit qu'on l'avait arrêtée pour une raison qu'elle ignore.

Je me levais, pris mes clés tout en gardant le téléphone collait à mon oreille pour écouter la fin de la version qu'elle a reçu.

Rhomezia

PDV Chanel

Ça faisait déjà vingt-quatre heures que j'étais enfermée ici pour une raison que j'ignorais.

Angela où était elle ?

Qu'allais-je dire à Enzo ?

Il m'avait confié sa fille juste quelques heures et voilà que j'ignorai là où elle se trouvait.

Je me levai du lit subitement lorsque j'entendis une voix.
Cette voix que je connaissais bien.

- je peux savoir pourquoi vous avez arrêté ma fiancée ? Demanda Enzo.

Il était là, jeans noir veste noire, chemise noire avec les trois premiers boutons ouverts.

Le noir était un peu sa couleur préférée, la majorité de ses habits était noire ou en gris.

Bref, il était beau.

- je vous ai posé une question précise, dit il.

Je vous ai posé une question précise, dit il.

- c'est le prince Eduardo qui nous l'a ordonné, répondit l'agent.
- et quel en est le motif ? Demanda Enzo.

- kidnapping de la princesse Angela
- c'est quoi ce délire.
- il nous a dits que cette dame à kidnapper votre fille.
- avez-vous mené une enquête ?
- non
- savez-vous que je peux vous faire arrêter pour séquestration et arrestation arbitraire de ma fiancée ?

Je ne m'étais même pas rendu compte qu'ils avaient ouvert la porte.

- Hey, ça va maintenant, me dit Enzo en entrant dans la cellule.

Je ne m'étais même pas rendu compte qu'ils avaient ouvert la porte.
Enzo était entré dans la cellule et il était devant moi.
Comme si cela était instinctif, je baissais directement mes yeux pour ne pas avoir pas rencontré les siennes.

- tu pleures ?

Il s'essuya mes larmes et me prit dans ses bras.

- qu'est-ce que tu as ?
- rien
- pourquoi tu trembles ?
- je ne tremble pas, je vais bien, est-ce qu'on peut partir ? je ne tremble pas, je vais bien, est-ce qu'on peut partir ?

Il me sourit avant de se pencha près de mon oreille.

- on y va.

Nous quittâmes le commissariat pour rentrer à la propriété.

Après une vingtaine de minutes de trajet dans le calme, nous arrivâmes à la propriété.

- bonjour mademoiselle, me dit Kalpa en descendant les marches.
- bonjour Kalpa.
- vous allez bien ?
- oui, je vais bien.
- Kalpa conduisait mademoiselle dans sa chambre, dit Enzo en enroulant son bras dans ma taille pour m'inviter à monter les marches, ce geste me donna des frissons d'un coup et j'accélérais mes pas pour me libérer de sa prise.

- d'accord, répondit Kalpa

Il remarqua mon malaise qu'il retira son bras et me regarda monter.

- Enzo, dis-je lorsque une fois que j'atteignis l'étage.

Il leva ses yeux pour me regarder à nouveau.

- oui, dit-il sèchement.

- je voulais te remercier de m'avoir libéré.
- t'as pas à me remercier.

Je regagnai ma chambre et me mis sur la chaise près de la fenêtre.

- allô mamie
- ma chérie ça va ?
- oui et toi ?
- ça va.
- on te soigne bien ?
- oui, comment as tu fais ?

''Le bon côté de ce jeu et que j'ai pu m'occuper de ma grand-mère comme elle le mérite'', me dis-je.

- j'ai payé la totalité.
- ma chérie que me caches tu ?
- rien.
- pourquoi te donnes-tu tant de mal, j'ai déjà un pied dans la tombe ?
- Ne dis pas n'importe quoi.
- je suis sérieuse ma chérie.
- Mamie, je suis un peu fatiguée, on se parle après.
- d'accord, ma chérie repose toi.

Je ne voulais pas l'inquiète avec ce petit problème que j'avais eu ces dernières heures.

Si pour qu'elle vive longtemps, je devais endurer cela j'étais plus que prête.

- d'accord Mamie.

Je me mis près de la fenêtre en observant le paysage lorsque la porte s'ouvrit et Enzo apparut dans le cadre de la porte.

Les Coups du Destin: Tome 1 ( Casanova Family)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant