Chapitre 42

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Je me retournai et essayai par tous les moyens de cacher ma peur.

Il s'approcha de moi.

- tu es rentré quand ?, Demandais-je pour n'est pas le faire douter.
- à peine je venais déposer ma veste et ma mallette, me dit-il en déposant le tout sur une chaise qui traînait dans le parage.

Je me rapprochai de lui et le serrai dans mes bras.

- tu m'as beaucoup manquée. Lui dis-je
- beaucoup ? Seulement.
- énormément.
- moi aussi tu m'as manqué Mia bella
Que fais-tu dans mon dressing ?
- euh je.. M'ennuyais et j'ai décidé de visiter les lieux.
- ah ok.
- tu as fait bon voyage ?
- oui et tu sais le comble.
- non
- je n'ai pas arrêté de penser à toi

Je le regardai avec les larmes aux yeux, peut-être pour lui ces sont des simples mots, mais pour moi, c'était beaucoup plus.

- Stella, ça te dit qu'on allait dîner dans un restaurant

La dernière fois qu'on était sorti il avait abattu un homme alors mieux vaut n'est pas tentée le diable.

- euh non, je préfère un dîner les pieds dans l'eau.
- les pieds dans l'eau ?
- oui on peut dîner sur la plage.
- d'accord si tu veux comme ça tu me raconteras, c'est que tu as fait en mon absence.
- ok

Je regardai une dernière le lieu où j'avais remis la farde avant de sortir.

Rhomezia.

PDV Alexandro.

- majesté, votre tante est ici et elle vous demande.
- ma tante ?, Demandais-je à Lionel
- oui
- Alexandro on vient de m'informer que ta tante vient d'arriver, me demanda Marly.
- oui tu veux la voir
- Oui, je souhaite rencontrer la tante que tu n'arrêtes pas de chanter les louanges.
- aller viens on y va

On descendit pour saluer ma tante.

- oh ! Mon chéri, comment vas-tu ?, Me demanda ma tante.
- tati Hamada, dis-je.

Je lui sautai au cou et la serrai très fort

Ma tante chérie était venue me voir.
J'étais toujours enfant dans ses bras.

- tati tu m'as beaucoup manquée.
- à moi aussi mon chéri.
- tati toujours très belle et tu n'as même pas des cheveux blancs.
- je lutte contre la vieillesse mon chou, me dit-elle en me faisant un clin d'œil.
- bonjour madame, dit Marly en s'approchant doucement.

Tante Hamada me regarda et me fit un clin d'œil.

- c'est ta petite copine ?, Me demanda tante Hamada en faisant la sérieuse.
- ma femme.
- ta quoi ? Demanda-t-elle choquer.
- ma femme
- depuis ?
- trois jours.

J'en avais marre d'attendre longtemps, je voulais faire d'elle ma femme le plutôt possible et je l'avais fait et aucun membre de ma famille n'était présent, en disant membre, je voulais Eduardo, Alfredo, Enzo.
Marina et Adriana seules étaient là pour représenter nos deux familles.

C'était un peu compliqué de la convaincre, mais le ciel était de mon côté.

L'ESSENTIEL.

- alors j'ai bien fait de venir, viens tu assois près de moi chérie, dit ma tante à l'égard de Marly.
- d'accord madame
- appel moi Tati comme ton mari
- ok Tati
- Tati Hamada, tu as appelé Angelo ?
- Oui et tu ne devineras pas, c'est que j'ai appris de la bouche d'Alfredo.
- mets-moi donc au frais, ma très chère tante.
- il a enfin trouvé l'âme sœur, c'est une avocate, elle est très belle et très intelligente.
Je l'ai rencontrée il y a six mois et l'autre jour quand j'ai appelé chez lui, c'est elle qui m'a répondu et j'ai conclu direct et son frère m'avait dit était vrai. Ce dernier jour, il avait l'air un peu ailleurs, comme si quelque chose tourmenté son esprit.
- tati est si ce n'était pas ça.
- non je connais cette fille et je connais mon fils et je sais qu'il y a un truc entre eux.
- d'accord je te crois

Les Coups du Destin: Tome 1 ( Casanova Family)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant