Les Coups du Destin: Tome 1 ( Casanova Family)

Chapitre 41.

Je pris mon bain et m'apprêtais à descendre pour prendre mon petit déjeuner.

- bonjour, me dit une voix douce, très familière.
Je me tournai vers la voix et c'est ma belle blonde qui entra avec un plateau en main.
Elle baissa directement ses yeux lorsque je la regardais.
Elle fit encore la timide.
Je m'approchai et l'embrassai.

- comment vas-tu ?, Lui demandais-je, elle déposa le plateau sur la table.
- je vais bien et toi ?
- je vais aussi bien que toi Mia bella.

Je m'assis pour entamer mon déjeuner et je sentis son regard sur moi et j'essayais de l'ignorer mais...

- est-ce que ça va ?

....je craque

- comment j'étais ?, Me demanda-t-elle rouge comme une tomate.
Je savais bien à quoi elle faisait allusion, mais que dire, moi-même je peinais à comprendre ce que m'arrivait et ce qui se passaient entre nous.

- magnifique,. Et les seuls mots qui me vient en tête.
- vraiment ?

C'était visible qu'elle stressait et que tout comme moi elle essayait de se faire une idée et pense au lendemain, un lendemain que je ne lui garantissais pas.

- oui, mais attends, c'est à moi qui devais te poser cette question, lui dis-je.
- je suis un peu stressée, c'est tout nouveau pour moi et tu es le premier à qui je me suis donnée, tu comprends mon inquiétude, je ne suis pas douée dans ce domaine et j'ai.....

Là je me rendis compte de la valeur de femme qui se tenait devant moi.

- ne dis plus rien, lui dis-je en posant ma main sur sa bouche.
- pourquoi ?
- tu ne fais que dire n'importe quoi
- mais...

Ah ! Stella, tu étais trop confiante pour me tenir tête, mais incapable de te faire confiance.

- Stella, tu étais magnifique et crois-moi s'il te plaît, tu m'as donnée plus qu'une simple nuit hier.
Stella ne doute jamais te toi, est-ce que c'est clair ?
- hum, me fit-elle en souriant.

Cet qui s'était passé entre nous était juste magique.
J'avais déjà eu des maîtresses, mais avec elle, je sentis quelques choses de différents, je ne savais pas si c'était quoi, mais je crois être tombé dans mon propre piège, moi qui croyais la repousser et me voilà attiré de plus en plus par elle.

Je déposai mon verre de jus et l'attira vers moi pour la prendre dans mes bras, elle s'y jeta sans se faire prier.

- tu pleures, lui demandais-je en caressant sa chevelure dorée.
- non, je suis un peu émue, me dit-elle en se dégageant de mon emprise.
Je crois que je vais rester plus longtemps que possible ici, ajouta-t-elle en m'en affichant un sourire énigmatique.

Je la regardai et je ne comprends rien

- parfois je peine à te comprends, lui dis-je.
- vraiment ?
- oui comme présentement.
- c'est moi qui peine à te comprendre Eduardo.

Elle s'assit sur mes genoux et me serra très fort.

Chicago/ USA.

PDV Enzo.

Depuis hier soir, la grand-mère de Chanel a été amenée d'urgence à l'hôpital et on ignore dans quel état elle se trouve.
Chanel est dans un état de panique totale.

Après une nuit t'attente, le docteur arriva enfin.

- madame Martinez, on se leva
- docteur, répondit-elle.

Madame Martinez ça paraissait bizarre, mais c'était le nouveau nom de Chanel, on s'était marié il y a quelques semaines d'une part pour masquer sa grossesse et de l'autre je voulais qu'elle soit ma femme.
Un mariage dans la plus grande intimité, ma mère voulut qu'on se marie avant que son ventre ne devienne de plus en plus visible.