Chapitre 17

606 44 1
                                    

PDV Eduardo.

- Eduardo, elle est là, me dit Sam.

Sam était le bras droit de mon père avant sa mort, alors quand j'avais repris la relève, je continuais avec lui.

Je déposai mon verre sur la table de mon bureau et suivi Sam dans le couloir qui mener à la cave.

J'entrai après avoir aperçu une femme allongée par terre, les yeux bandés, les mains enchaînés.

Cette chose qui était venue arrêter, elle n'arrivait même pas à se défendre et elle comptait mettre la main sur moi.

- elle a quoi ?, Demandai-je en constatant qu'elle était inerte depuis un bon moment.
- elle s'est assommée en voulant fuir, elle s'est montrée très farouche.
- amené moi deux seaux d'eau avec plein des glaçons, demande ai-je.

On m'amena deux seaux bien remplis.

- versez la de l'eau, ordonnai-je
- elle sera gelée Eduardo, m'interpella Sam.
- tu exécutes sans discuter. Après tout, l'eau ne tue personne, lui dis-je en lui adressant un sourire.

Mes hommes se mirent à renverser de l'eau sur la femme qui sursauta directement, elle se mit à crier en se débattant.

Je me mis à rire à gorge déployée après tout un spectacle pareil, ce n'est pas chaque jour alors mieux vaut en profiter.

Sam se racla la gorge pour me rappeler à l'ordre.

- ça va arrêter de crier, tu vas me rendre sourd, dis-je à l'égard de femme tout en regardant Sam qui semblait vraiment énervé.

Il était trop sentimental le pauvre.

Elle se redressa avec mille et une difficultés.

- enlevez la le bandeau.

L'un des hommes se mit à défaire le bandeau.

- Eduardo, il faudra la sécher

Elle se mit grelotter devant mes yeux.

- pourquoi ?
- elle va attraper froid de nature, il fait frais ici et trempé cet encore pire.
- et alors ?
- on vient de la verser de l'eau glacée, tu imagines dans quel état elle est ?

Je la préférai morte que vivante.

- je m'en fiche et arrête de me faire cette tête d'enterrement, tu m'énerves.

Je reportai mon attention sur la femme qui était assise par terre.

Je me figeai lorsqu'elle ouvrit ses yeux, elle avait des magnifiques yeux, bleus comme ceux de ma mère.

- qui êtes-vous ?, me questionna la femme.
- ici, c'est moi qui poser des questions, donc tu la fermes.

Je commençais à perdre mon calme.

- Eduardo, me dit Sam pour me calmer.
- Stella McCartney c'est ça, demandai-je.
- exact.
- c'est toi l'avocate qui doit me renvoyer en prison, lui dis-je d'un ton moqueur.
- Eduardo Dantès ?, me demanda Stella.
- visiblement tu me connais.

Elle se crispa directement.

- je vais te propose un marché.

Je voulais en finir rapidement par voie douce.

- je ne négocie pas avec des criminels, dit-elle en me toisant.

Je me retiens pour n'est pas lui fait exploser la cervelle.

- c'est comme tu désires.
- on verra si tu vas supporter, dis-je.

Elle continua à me fixer.

- tu te demandes comment j'ai appris que tu enquêtais sur moi.

Les Coups du Destin: Tome 1 ( Casanova Family)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant