Chapitre 27 : Pain (1/2)

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Je marche d'un pas frustrant jusqu'au lieu de mon rendez-vous. Cette connasse vas regretter ce qu'elle a osé me faire. En cour de chemin, j'ai mis des lunettes de soleil et j'ai remonté le col de mon pull pour cacher au maximum mes bleus. Environs 40 minutes plus tard, j'entre dans une ruelle sombre et toque à la porte en fer recouverte d'affiches et de tags qui se trouve au fond de la ruelle. Une paire d'yeux apparait par la petite trape coulissante qui se situe au dessus de ma tête :

- Mot de passe ? Dit la voix rauque de la personne qui se trouvait derrière la porte.

- Putain Aiichiro tu vas me laisser rentrer?

- Mot de passe ? Insista-t-il.

- Tendô, Chikushodô, Jigokudô, Shuradô, Gakidô et Ningendô, content ?!

Puis quelques minutes plus tard, la porte s'ouvrit, je m'empressa d'entrer et m'installa directement sur le canapé :

- Karin que me vaut cette visite ? Dit le roux en face de moi.

- Je suis là pour que tu "élimine" quelqu'un qui mestt nuisible.

- Nom, prénom, photo de la personne. Dit-il en nettoyant soigneusement la lame de son sabre.

- Haruno Sakura, Dit-elle en balançant sur la table la photo. Ne t'inquiète pas nous somme dans le même lycée et on fini aux même horaires.

- Ç a me facilite la tâche alors. Il pris la photo de la rose et la regarda. Tu a l'argent ?

- 30.000 Yen tout rond tiens. Elle jeta deux liasses de billets sur la table. Je veux que tu l'a fasse disparaître de la circulation et que tu la torture.

- Ce n'est pas pour rien qu'on m'appelle Pain. Konan, nous avons tu travail .

- Je m'y mets tout de suite. Répondis d'un ton neutre la femme qui était derrière elle depuis le début. Tu ira sous quelle couverture ?

- Tendô.

- Bien.

- J'y vais. Dit la rousse en se levant et sortit sans même un au revoir.

- Haruno Sakura... Il fixa la photo.

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Faut vite que je rentre chez moi pour m'occuper de ses bleus. Je commence à accélérer le pas et arrivée chez moi, je m'empresse d'enlever les lunettes de soleil en claquant la porte. Ma mère ayant entendu le boucan, venue immédiatement et remarqua mon visage, elle fit une mine horrifiée :

- J'ai un fond de teint pour sa. Dis-je en disparaissant dans la salle de bain avant qu'elle ne puisse en placer une.

Je me mis en face du miroir et constata les dégâts. Cette pute, elle m'a mis un oeil un bord noir, ma lèvre et mon arcade gauche fendues et un énorme bleu sur la joue droite. Je me saisis d'un morceau de coton et du désinfectant et commença à désinfecter mes plaies, pour le bleu, je mis de la pommade et passa le reste de ma soirée à planifier mes plans.

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Je fixait encore cette photo que Karin est venue déposé se matin puis soupira. Me dirigeant vers ma chambre, une photo attira mon attention. Je saisis le cadre. C'était une photo qui datait vraiment. Je regardais mélancoliquement le petit garçon au cheveux étrangement rouges et le vieillard à la longue crinière qui figurait sur cette photo de "famille".

Je me rappelais de cette époque, cette époque où l'insécurité régnait, où les coups de feux se faisaient entendre, où les morts devenaient fréquents.

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⏰ Dernière mise à jour : Jul 02, 2019 ⏰

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