Unique

Chapitre 31

Hey!

N'hésitez pas à commenter à chaque paragraphe!

Voir vos réactions au fur et à mesure, à chaque petite réplique est particulièrement très amusant et cela ne me gêne absolument pas!

J'espère que vous allez aimer ce chapitre!

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La fin de la semaine signa non seulement la fin de ce voyage mais également la fin de nos années lycée.

Dès que nous revînmes chez nous, c'était un parfum de joie entremêlé de nostalgie qui se propageait dans l'air.

Tous se faisaient des adieux et des promesses de retrouvailles.

Que bien entendu, peu de gens tiendrait mais c'était un infime détail.

Et chacun d'entre nous s'apprêtait à commencer son avenir professionnel.

J'avais décidé de me diriger vers des études de journalisme.

J'avais toujours voulu écrire et découvrir de nouveaux horizons. Ce métier semblait donc fait pour moi.

J'étais superbement excitée de commencer après les vacances, mes études universitaires.

Je remplissais les dernières formalités pour mon inscription, quand je sentis des bras m'enlacer.

-Bonjour, sursurra Alec contre mon oreille.

-Hey, répondis-je en souriant ne quittant pas des yeux le formulaire d'inscription.

Nous étions au tout début du mois de Juillet.

Alec et moi étions dans mon jardin où je m'étais assise dans l'herbe, mon dossier sur mes genoux.

Alec s'assit près de moi et posa sa tête contre mon épaule tout en me regardant remplir les questions.

-Faudrait que je m'y mette aussi... grogna Alec.

Ce dernier avait son avenir tracé devant lui.

Il reprendrait l'empire de son père.

Et il avait pour ce faire choisi une école d'économie bien évidemment.

-Tu sais, toi et ton côté chiant allez beaucoup me manquer pendant ces vacances, chuchota Alec.

-Mon côté chiant et moi t'enmerdons Alec.

Il rit et m'embrassa la joue:

-Tu m'appeleras tous les jours hein?

-Peut-être.

Alec se raidit un instant et je pus voir son visage se marquer d'incertitude un instant.

-Je plaisante Alec. Bien sûr, on s'appellera tous les jours, chuchotais-je doucement

-Promis?

-Promis.

Il m'enlaca plus étroitement et me tourna face à lui:

-Tu sais que je t'aime mon enmerdeuse préféré?

-Je t'aime aussi imbécile.

Et il se pencha pour doucement m'embrasser les lèvres.

A cet instant précis, je m'imaginais qu'un avenir sain avec Alec pouvait s'ouvrir à moi.

***

-Alors ma chérie, ta mère m'a dit que tu avais un petit copain, me demanda ma grand-mère en souriant.

-Oui Mamie, répondis-je le sourire aux lèvres bien que gênée d'en parler avec mes grands-parents.

-Si ce garçon te fait du mal, n'oublie pas de lui dire que j'ai mes fusils de chasse qui l'attendent! grogna mon grand-père.