Chapitre 44

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Hey!

Désolée pour ce long silence!

Un chapitre très long pour me faire pardonner :)

 Chapitre dédié à une auteure que j'apprécie énormément et au coeur grand comme un Big Mac (oui j'ai faim, et alors? )

Alexander en média alias Matt Bomer, ce mec est kbkrbkegkk (il est temps que je me trouve un vrai petit ami moi...)

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Alexander sourit à l'entente de ma question et s'avança vers moi:

-Elena! Je suis ravi de pouvoir vous revoir! Comment allez-vous?

-Bien mais je ne comprends toujours pas ce que vous faites là? Répondis-je en fronçant les sourcils

Alexander se contenta d'esquisser un sourire encore plus éblouissant et charmeur, en passant sa main dans ses cheveux.

On aurait dit Alec, me dis-je en retenant un sourire.

-Disons que je voulais simplement vous parler

-Me parler? répétais-je stupidement.

-Oui, comme le ferait de bons amis...dit-il d'un air suggestif

Nous ne sommes pas amis, brûlais-je de dire mais à la place je me contentais d'un petit sourire.

-Eh bien parlons.

-Pas ici, marchons un peu, vous voulez bien? dit-il d'un sourire mielleux en effleurant légèrement ma main.

Je me reculais doucement en frissonnant:

-D'accord, soufflais-je en me maudissant intérieurement d'avoir accepté.

Nous commencâmes à marcher dans un silence mortel.

Pour une raison qui m'étais inconnue, la présence du frère d'Alec me rendait mal à l'aise.
Un sorte de gêne dérangeante m'envahissait lorsqu'il était là, et son regard brûlant et inquisiteur que je sentais sur moi à ce moment-là n'arrangeait rien. Quelque chose me disait que ses sourires, ses gestes et ses regards n'auguraient rien de bon, mais aussitôt j'en voulus à mon esprit de faire preuve d'autant de paranoïa. Si ça se trouve, Alexander n'était pétri que de bonne intentions.

-Donc que vouliez-vous me dire? dis-je en essayant de sourire franchement.

-Dites-moi Elena, je me demandais, êtes-vous réellement amoureuse d'Alec?

Je m'arrêtais et considérais sa question, une stupide rougeur de plaisir et de bonheur chauffa mes joues, et je ne pus retenir le sourire idiot qui me montait aux lèvres.

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