Chapitre 70

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Heyy


Voilà un nouveau chapitre!

J'ai été rapide hein!


en gif, jessica lowdes aka Caitlin, qui me rappelle à quel point JE SUIS MOCHE


bref bonne lecture!


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°Retour au point de vue d'Elena

Notre trajet en voiture est emplie d'un silence pesant, seulement interrompue par le vrombissement du véhicule,

Un calme étonnant contrastant fortement avec l'agitation violente et la cohue de paparazzis quenous avons traversé plus tôt.

J'avais je n'avais vu une chose pareille.

Atteindre la voiture qu'avait prévu Alec aurait été seulement l'affaire de quelques minutes de marche en temps normal.

Or, ces minutes avaient été les plus stressantes de ma vie et avaient été l'objet d'un mal être et d'un ahurissement profond, alors que la flopée de ces chacals nous poursuivaient.

Voir ces dizaines de paparazzis littéralement nous harceler jusqu'à que l'on atteigne le véhicule,m'avait complètement déstabilisé.

Si Alec ne m'avait pas fermement tenu par la main pour m'entraîner à sa site, j'aurais pas manqué d'être étouffée par cette masse.

Le contact de sa main était d'ailleurs le seul lien qui me reliait encore à un monde sensé tant tout cela me paraissait inimaginable.

Les flash des appareils photographiques m'avaient aveuglés tant par leur violence que par leurs nombreuses prises.

Et je ne parlais même pas des dizaines de questions qui avaient fusé et qui malheureusement pour moi,m'arrachaient peu à peu mon intégrité et ma fierté et n'étaient pas en ma faveur.

"Mademoiselle Parks, est-ce vrai que votre relation avec M. Harding était tarifée ?"

"Est-il vrai que vous avez volontairement fait en sorte d'être enceinte afin de piéger Alec Harding?"


Sur le moment, j'avais été ulcérée de toutes ces stupides allégations et j'avais tenu à exprimer clairement mes pensées devant tous ces idiots.

Mais au moment où je m'apprêtais à me défendre avec force, une pression marquée sur ma main venantd'Alec, m'avait intiment ordonné du contraire.

Tant et si bien que j'avais du mecontrôler pour ne pas hurler ce que je pensais face à ceux qui meharcelaient, jusqu'à que l'on atteigne, enfin, la voiture.

J'aurais du leur crever les yeux à ces chiens! me dis-je avec amertume


Je me repassais lentement ces momentsen mémoire et je décide de rompre le silence :

-Tu aurais du me laisser répondre,murmurais-je en levant la tête vers Alec

Il me fixe du regard et réponds d'unevoix douce :

-Cela n'aurait fait qu'empirer leschoses Elena. Ils n'attendaient q'une chose, c'est que justement turéagisses.

-Et les laisser m'insulter de traînée,de salope, ou d'entretenue, c'est la meilleure solution pour toi ?Rétorquais-je.

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