Pretty Please Don't Pinch Me (Traduction Française)

17. Beauté Mystère

J’étais encore sous le choc, les yeux grands ouvert à regarder la série de photos.

«Il n’y a pas juste ça, il y a plus» dit-elle avec un faux ton d’enthousiasme et elle sortit quatre autres magazines, avec des titres différents mais des photos similaires.

 J’avais envie de pleurer en voyant toutes ces images. L’un des clichés était Harry qui tenait mon visage entre ses mains. Je ne pouvais pas détacher mes yeux de lui, et je vis la façon si intime qu’il me regardait. Une autre image était lors de notre baisé et une autre était de moi en train de sourire lors de notre baisé. Nous semblions si heureux. Je me rendis compte qu’ils avaient également réussi à prendre une photo de moi, à l’arrière du véhicule avec mes mains sur mon visage.

La plupart des images étaient belles mais c’était notre moment et il n’avait pas besoin d’être partagé. Je repensais à ce moment et ça me rendait malade de penser que quelqu’un nous regardait pendant ce temps. Mon esprit se rappelait instantanément de la photo avec JFK et Marylin Monroe à la galerie d’art. J’étais finalement consciente ce que voulait dire par son commentaire, et je partageais le même type de tristesse.

Je pris un moment pour lire les titres accrocheurs.

«Une mystérieuse Australienne avec Styles»

«Plus de Kendall et Harry?»

«Kendall outré par les images publiées, porte un chandail transparent dans un défilé en revanche à Styles»

«Kendall Vs la mystérieuse beauté Australienne»

Je me forçai d’arrêter la lecture sinon j’allais vomir. J’avais déjà vu cette fille, dans la télé-réalité «L’incroyable famille Kadarshian» et évidemment, cette fille était magnifique.

Mon cœur me faisait mal de savoir qu’Harry avait pris avantage de moi. J’étais sensé être une petite aventure secrète pendant qu’il était ici mais jusqu’à ce qu’il retourne vers sa, apparemment, petite-amie. Je ne pouvais pas croire que j’avais été stupide à ce point et de penser que quelqu’un comme lui aimerait quelqu’un comme moi.

 

Je regardai Scarlett, silencieusement. De toutes les années que je la connaissais, je ne l’avais jamais vue aussi silencieuse.

«Scar, je peux sérieusement expliquer, je voulais te le dire»

«Garde tes conneries. Je suis sensé être ta meilleure amie. Tu as eu tellement de chance pour me le dire et tu as gardé la bouche fermer putain»

«Honnêtement, j’ai tenté de te le dire plusieurs fois mais ce n’était jamais le bon moment. Tu ne m’as même pas cru chez «Hers» et une autre fois, tu étais fâchée et tu te sentais pas bien»

Je pouvais voir la douleur dans ses yeux et ça me brisait le cœur à l’intérieur.

«Ce qui me blesse le plus c’est que je suis supposé être ta meilleure amie et je suis la dernière personne à savoir, Ava. Tu n’as pas confiance en moi? Eh bien, j’espère que tu es contente»

«Bien sûr que je te fais confiance»

«Garde ton souffle» s’exclama-t-elle et sortit de la pièce.

Je ramassai toutes les magazines, je les mis en une pile et les glissai en dessous de mon lit, pour éviter que ma famille les voient. Tout de suite, je me rendis compte que c’était une idée stupide parce que les magazines allaient être affichés dans les kiosques, supermarchés et il n’avait aucun moyen pour qu’ils ne les voient pas. Finalement, les gens savaient qui j’étais et ils vont penser que je suis une fille qui essayait de brisé une relation de quelqu’un qu’ils adoraient.