[2] 𝓞𝓻 𝓝𝓸𝓲𝓻

[2] Dies

JANAH

قلت فقط لك
« Je ne l'ai dit qu'à toi »

🔹 L'instant présent🔹
.5 novembre.

J'étais entrain de rattraper ma nuit quand mon téléphone a sonné sur ma table de nuit, me réveillant en sursaut. Résignée je décroche, sans même me laisser le temps de dire quoi que ce soit la personne enchaine :

: « Allô, Janah ? C'est Adrian, t'a des nouvelles de Nourredîne ? Depuis hier lui et Nassrredîne ont disparu, on les cherches partout- »

— Qu'es ce que tu raconte.... Je...euhh... Non je n'ai aucune nouvelles de lui depuis la dernière fois que je l'ai vue, pourquoi tu me demande ça a moi ?

Adrian — « Ahhh... J'aurais pensés que tu saurais... T'es quand même celle qui le connait le mieux. »

— N'importe quoi...

« Je t'ai dit beaucoup de choses sur moi, des choses que seule toi sais. »

— Bon okey, mais je n'ai aucune nouvelles de lui... Qu'est ce qu'il se passe Adrian ?

Adrian — « Lui et son frère ont disparus depuis hier soir, ca vas faire 13 heures qu'on à aucunes nouvelles d'eux. »

Je me lève alors de mon lit et me met en meilleure position.

— Mais qui dit qu'ils ne sont pas juste partis le temps de prendre l'air ?

Adrian — « Tu crois réellement que ces 2 là partirais prendre l'air dans une pareil situation ? Les enfants de Nassrredîne ont étés kidnappés et Nourredîne ainsi que Nassrredîne eux même sont portés disparus. »

— Okey, Okey, ma question était stupide...

Adrian — « Je met ca sur le compte du fait que tu viens de te réveiller. Habille toi je viens te chercher. »

— Que-Quoi-

Adrian — « J'arrive dans 10 minutes. »

Et il me raccroche au nez, ce n'est pas la première fois qu'il me fait ca, et je déteste ça et il le fait. Quand Adrian dit qu'il arrive, il viens vraiment, dont machinalement, je me lève et vais me rincer le visage, ensuite je prend de quoi m'habiller chaudement. D'après le temps peu clément d'hier je doute qu'il fasse chaud ce matin.

●※——※●※——※●

Ce fou n'a eu aucune pitié de moi, il est venu me chercher 10 minutes après, comme il m'avais menacé. Assise dans le côté passé, je râle après lui, pour tout ce qu'il me fait subir, ce monstre.

Adrian — C'est bon t'arrête de râler ?

Je le regarde outrée. Je vous ai dit c'est un monstre il n'a aucune pitié pour moi, presque aussi mauvais que Ismaël mon grand frère.

— Tshiiiip, je suis fatiguée loi, tu pouvais pas le laisser profiter de mon jour de congé tranquillement ?

Adrian — Non c'est à Nourredîne qu'il faudrait ce plaindre, c'est de sa faute si je t'ai fait boycotter ton sommeil.

— Pas un pour rattraper l'autre.

Je rage dans mon écharpe.

— Tu m'emmène où là ?

Adrian — Là où le téléphone de Nourredîne a été localisé pour la dernière fois.

Je le vois prendre une route que je n'ai pour l'instant jamais emprunté avec ma propre voiture. Une route qui nous fait quitter le Canada visiblement.