NOURREDÎNE
كان قلة الحب
« C'était un manque d'Amour »🔹 plus tard dans la matinée🔹
.17 novembre.Les mains serrés sur le volant je la regarde monter au côté passager de la voiture après être allée fermer la porte la porte d'entrée. Elle reprend son souffle et s'attache avant de se tourner vers moi pour me sourire. Je lui rend un petit sourire crispée et me contente de la contempler, elle a échangé son pyjamas contre une tenue simple mais jolie : un body noir stylisé avec des petits diamants, un jeans bleu tenu par une ceinture noir de marque, une paire de cuissardes noir à talons, une longue veste fourrée. Pour le maquillage elle a opté pour un simple trait d'eyeliner qui étire joliment ses yeux, un peu de mascara qui agrandis ses cils déjà longs et du gloss, qui donne un effet particulièrement pulpeux à ses levres.
Elle ne porte pas de bijoux mais une simple gourmette en or que lui a offert sa mère de son vivant.
Je remarque alors qu'elle ne porte rien de ma part... Puis automatiquement comme si c'était une évidence je retire le collier que je porte à mon cou et lui met.
Janah — Pourquoi tu me le met ? Orhh t'abuse Nour' ça désaccorde toute ma tenue la.
Je dépose doucement mes lèvres sur les mienne et déclare :
— C'est histoire de marquer mon territoire.
Janah — À croire qu'on vas sur un terrain de chasse.
— Qui te dit ça ?
Elle s'apprête à répliquer mais vois à quel point je suis tenue et ne dit rien, je démarre la voiture et me met à rouler, jusqu'à quitter le quartier de Janah jusqu'à la propriété privée de mon géniteur. Une fois bien engagés sur la route elle commence la conversation :
Janah — Il y aura qui ?
— Tout le monde, des enfants aux petits enfants.
Janah — Ahh oui, vus que vous êtes beaucoup vous devez aussi avoir des petits.
— Ouais, ça vas c'est pas une colonie, il y en a 4-5.
Janah — Tes frères et soeurs ne sont pas mariés ?
— Pas tout le monde.
Janah — D'accord.
Et la conversation se termine là, je n'ajoute rien ne sachant pas franchement quoi dire, j'appréhende juste. Janah n'est pas une personne qui se laisse faire, c'est déjà ça, face aux membre de ma famille je me demande si elle fera le poids. Mais que dis-je, elle fera le poids bien sûr mais je sais que ce ne sera pas de tout repos.
Je me demande pourquoi mon père s'obstine depuis la mort de Nael a faire régulièrement des diners de famille... Enfin la famille proche. Avant cela n'avais lieux qu'a de rares occasions et la plus part du temps ça finissait mal, il y avais toujours quelque chose qui n'allait pas. Comme ci c'était une tradition chez nous de terminer les chose sur une touche dramatique.
Je sors de mes pensées et regarde autour de moi, histoire de me répéter, après presque minutes je tourne et me dirige vers un des riche quartier de la ville, plus j'avance plus les maison semblent coûter cher, après tout je ne m'arrêterais pas aux riche... Mais aux très riche. Je roule jusqu'au portail et m'arrête près du "guichet" un gardien de la propriété s'approche de la voiture, des que je baisse la vitre il me salue et dit à celui placé dans la loge d'ouvrir le portail, quelques instants s'en suivent avant que je ne puisse pénétrer la propriété.
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[2] 𝓞𝓻 𝓝𝓸𝓲𝓻
ChickLit« Brisé plus que je ne le suis déjà, je me contente de panser mes plaies en silence, mes blessures ont des fermetures incertaines. » T2 OR NOIR : « T'es ma lumière y a que toi qui me fait briller » MissDarkSkin