[2] 𝓞𝓻 𝓝𝓸𝓲𝓻

[2] Veinte

JANAH

السماء والشمس والقمر والنجوم
« Le ciel, le soleil, la lune et les étoiles. »

🔹 Le soir 🔹
.17 novembre.

Exténué par cette journée, nous rentrons enfin à la maison, Nourredîne conduit, tandis que moi je revasse au côté passager. Après être allés manger chez le père de Nourredîne et avoir discuté avec son père, nous somme restés un peu dans la maison et j'ai fait connaissance avec les autres, heureusement qu'il y avais Adrian, il me guidait et me renaît compagnie ! Nourredîne avais l'air assez, bizarre, l'ambiance entre son père et lui est..  Spéciale.

Je soupire, restant dans mes pensés.

Ensuite après ca, nous somme sortis, on c'est baladés puis nous somme allés au centre commerciale acheter quelques affaires et faire quelques courses. Je me sens sourire en pensant à ce que j'ai acheter... Puis je me retourne vers Nourredîne concentré sur la route, les sourcils légèrement froncés et les mains serrés sur le volant...

Je vais le rendre fou.

Un petit sourire taquin nait sur mes lèvres, préparant sournoisement mon prochain coup. Bientôt nous arrivons chez moi, silencieusement il gare la voiture et je descend, essayant tant bien que mal de ne pas glisser sur le verglas naissant. De son côté Nourredîne rit légèrement me raillant :

Nourredîne — Ca t'apprendra à faire celle qui porte des talons, tombe en silence.

Outrée, je frappe sur ma poitrine avec une expression désabusée.

— Tshiiiiiip, trop méchant toi.

Nourredîne — *rire* Oui oui, allez met toi sous le perron je prend les courses.

Je m'etouffe presque avec ma propre salive : Il ne faut pas qu'il voit le sac !

— Non t'en fait pas-

Nourredîne — Janah, tu ne tiens même pas debout avec tes chaussures la, vas sur le perron.

— Mais-

Nourredîne — Ne discute pas.

Pffffft

— T'abuse.

Il hausse les épaules et commence à sortir tout les sacs du véhicule.

Nourredîne — La seule qui abuse c'est toi, j'ai pas envie de me retrouver à l'hôpital parce têtue comme tu es tu t'es fracassé au sol, malgré que je te prévienne.

— Pfff....

Je l'entend juste claquer la portière du véhicule et venir dans ma direction, les bras chargés de sac, je lui arrache presque mon sac des mains et ouvre la porte de la maison.

Nourredîne — T'aurais pus ouvrir avant non ?

J'attendais juste le sac moi !

Je fait mine de l'ignorer et fonce à l'étage avec mon sac, je le cache soigneusement dans mon dressing puis redescend en bas, histoire de l'aider à ranger un peu. Il viens à peine de refermer la porte derrière lui, alors je prend les autres sac et commence à ranger et trier les courses. Une fois terminer je prend de quoi faire à manger et prépare un petit truc.

Tout ça m'a donner faim.

En attendant que je termine la préparation Nourredîne est derrière moi et me regarde cuisiner, même sans le voir je le sens ailleurs, dans ses pensés. Quand je finit je lui demande de préparer la table, ce qu'il fait sans rien dire, une fois installés je nous sers.