Chapitre 25

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La scène qui suit peu choqué certaine personne.

Je perds tout le contrôle de mon corps. Elle est belle, attirante, le physique d'une déesse, même plus que ça. Je continue à me mordre la lèvre.

— Lizie... Si tu continues à te mordre la lèvre, c'est plus toi qui vas le faire, mais moi.

J'avais envie qu'elle le fasse donc je continue et pendant que je le faisais, je la regarde dans les yeux et les papillonne.

— Tant pis. Tu es finie. Me dit-elle avec un sourire démoniaque.

Elle me soulève et me lève par la même occasion, qu'est-ce qu'elle fait ?

Je lui fais un sourire.

— Que veux-tu Laïla ?

— Bah puisque tu me le demandes bébé...

Quand elle dit ce surnom j'ai des picotements entre les jambes et des frissons sur tout le corps.

Elle se rapproche de mon oreille et me susurre :

— ... Ce que je veux, c'est toi.

Toujours soulevé, elle me plaque contre le mur.

Elle commence à m'embrasser avec une telle passion, un désir que je n'avais jamais ressenti. Nos bouches sont une parfaite harmonie. Elle fonce sur mes lèvres avec passion et désir, ce qui me fait perdre la tête.

Ma langue joue énergiquement avec la sienne. Elle mordille ma lèvre inférieure, ce qui m'arrache un gémissement. Elle me fait perdre la tête. Je lui enlève son teeshirt et elle m'enlève ma robe.

— Laïla...

Elle a une telle emprise sur moi, c'est incroyable. J'ai des sentiments pour cette femme qui est tout bonnement extraordinaire.

— Lizie, as-tu déjà eu un orgasme ?

Sa question est très directe ce qui me gêne un peu, je l'avoue... De plus, je n'arrive pas à aligner deux mots, son corps m'obsède trop pour cela.

Elle s'arrête ce qui lui vaut un grognement de frustration.

— Arrête de faire l'enfant gâté Lizie, pas avec moi. Réponds-moi. Est-ce que tu en as déjà eu un ou non ?

— Non, Laïla, ça ne met jamais arrivée. Tu es contente ?

— A vrai dire, oui. Tu m'as l'air si pure et ça me rend dingue de savoir que personne ne t'a touché comme moi. Mais pourquoi ? Dit-elle dans l'incompréhension.

— Parce que je t'attendais.

Sur ces paroles, je l'embrasse. Elle m'embrasse aussi mais en souriant, ce qui me fais aussi sourire.

— Tu arrêtes de sourire Laïla ? J'embrasse tes dents là ! Dis-je en riant.

— Oh arrête. Bon alors là tu es finit.

Elle me reporte jusqu'au lit et m'allonge sur celui-ci. Elle se met au-dessus de moi. Elle commence à m'embrasser dans le cou puis descendu vers mon décolleté.

— Tu es magnifique dans ces beaux sous-vêtements. Me dit-elle en souriant.

Elle continue à m'embrasser dans mon cou et sur ma peau nue. Elle commence à descendre de plus en plus bas. Je l'interroge du regard.

— Non Lizie, on ne va pas couchée ensemble. Du moins, pas dans le sens où tu l'entends mais ce n'est pas l'envie qui m'en manque, surtout quand je te vois comme ça. Fais-moi confiance.

— Laïla, je te fais confiance.

— Bien.

Elle enlève mon soutien-gorge et le jette à travers la pièce. Elle continue à m'embrasser partout ce qui me rends complétement folle. Je me retiens de gémir.

— Enlève ton pantalon. Lui dis-je...

— Mais oui madame.

Elle l'enlève.

— Mon Dieu... Dis-je.

— Quoi ?

— Tu es... Enfin...

Elle mit un doigt sur ma bouche.

— N'en dis pas plus. Enfin, je ne te garantis pas que tu ne vas rien dire dans quelques secondes.

Qu'est-ce qu'elle veut dire par là ?

Puis, elle m'embrasse et j'oublie tout ce qui se passe, je ne pense qu'à elle et son corps de déesse. Elle commence à mettre un de ses doigts dans ma culotte et à me caresser lentement.

C'est si bon... Je ne comprends pas pourquoi. C'est juste une caresse. Pourtant, je n'ai jamais ressenti quelque chose de tel.

Je gémis à ce contact.

— C'est bon un ?

Je hoche la tête.

— Tu es si mouillé.

Je croise son regard et y vois du désir pur et sauvage. Je gémis son nom tellement de fois. Elle va plus vite et je me cambre. On dirait que je vais exploser !

Je sens une sensation remontée par ma colonne vertébrale. Elle est magique, c'est incroyable. Je me mords la main pour qu'on ne m'entende pas.

— Non, Lizie, je veux t'entendre dire mon nom, sinon j'arrête. Dit-elle d'un ton autoritaire qui me fais perdre tous mes moyens.

Puis, j'atteins l'apothéose. Je me sens comme une poupée désarticulée.

— Qu'est... Qu'est-ce qui s'est passé ?

— Tu as eu ton premier orgasme. Dit-elle fièrement.

— Wow...

C'était magique, je n'avais jamais ressenti ça.

— Alors tu as aimée ?

— Si j'ai aimée ? Mais bien sûr que oui ! À mon tour de te faire plaisir.


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