Amour Secret

Chapitre 64

Dans son regard, il n'y a plus aucune trace d'amusement, seulement du désir.

Je suis entrain de mourir de désir face à elle.

Elle met ses mains de part et d'autre de ma tête. Elle rapproche son visage du miens lentement. Puis, tout en se elle colle son corps au miens. Et hop, trois degrés en plus.

— C'est moi où me ferais-tu des avances ? Dit-elle avec un sourire en coin.

— Ça se pourrait bien. Cela vous étonne-t-il ?

— Un peu certes, mais c'est très excitant. Dit-elle avec un léger sourire en coin.

Sans attendre un mot de plus, elle m'embrasse passionnément. Elle prend mes mains et les met au-dessus de ma tête en les plaquant contre le mur. Nos langues sont en harmonie parfaite. A chaque mouvement de langue, mon excitation se faisait encore plus présente.

Je rapproche nos deux corps à l'aide de mes mains, que j'ai reprise, et commence à toucher son corps magnifiquement sculpté par cette robe.

On recule jusqu'au son lit et manque de trébucher, deux fois.

J'enlève mon haut bustier et je re-scelle nos les lèvres pour une danse effrénée.

Elle me griffe le dos avec ses ongles ce qui me faisais grogner. J'enlève sa robe et enlève après sa culotte.

— Lizie, non. Dit-elle doucement.

Sa remarque me fait froncer les sourcils.

Je lève les yeux vers elle et essaye de déchirer son visage, ce qu'elle remarque.

— C'est moi qui commence. Dit-elle d'une voix à la fois autoritaire et douce.

Mon Dieu, elle est tellement sexy quand elle fait cette voix...

Elle enlève mon pantalon, le jette à travers la pièce, tout comme ma culotte. Elle commence à jouer tout doucement avec mon intimé, en particulier ma boule nerveuse.

— Putain Lizie, tu es toujours aussi prête pour moi. Dit-elle dans un grognement.

Elle va de plus en plus vite et je commence à gémir plus fort.

Je vais exploser tellement la sensation est exquise. Ces coups de langues sont tellement maîtrisés, c'est incroyablement bon. Je tire sur les cheveux à Laïla et me mords la lèvre inférieure pour qu'on ne m'entende pas plus.

— Non, je veux t'entendre. Lâche-toi Lizie, la musique est beaucoup trop forte pour qu'on t'entende. Je veux t'entendre crier mon nom, je veux savoir à qu'elle point je te fais du bien, ce que personne d'autre ne peut te faire ressentir.

À l'entente de ces mots-là, je me lâche. Je ne crie pas car je ne veux pas qu'on m'entende, on ne sait jamais, mais on m'entend largement plus qu'il y a quelques secondes.

Me jambes commencent à trembler, signe que je vais bientôt me retrouver aux septièmes ciels. Je gémis tellement de fois son nom. Je jouis d'une telle puissance, incroyable.

Laïla se rallonge à côté de moi et me plante des baisers dans mon cou en sueur, cela me donne des milliers frissons, ce qui la fait sourire contre mon cou.

Après une ou deux minutes, je me mets à califourchon au-dessus d'elle et commence à l'embrasser passionnément.

Je me lève et commence à bouger au rythme de la musique qu'on entend. Je suis entrain de danser pour elle. Qui l'aurait cru ?

Je la vois me regarder avec tant de désir, je ne croyais pas ça possible. C'est du désir sauvage.

Je frotte mes fesses contre elle et elle les mord gentiment ce qui me fais un peu rire. J'enlève mon soutien-gorge et je lui enlève les vêtements qui lui reste.

Je l'embrasse passionnément puis descends dans son cou, le mordille et lui fais un suçon, ce qui l'a fait gémir. Je commence seulement à jouer avec un de ses tétons et son clitoris.

Je descends vers sa fleur et la lèche sans plus attendre, avec un désir ardent.

J'en avais tellement envie, je ne voulais que la goûter. Ses mains se nichent dans mes cheveux et les tire doucement, ce qui me fais grogner. Je vais de plus en plus vite et mes coups de langues sont plus ferme. Quand je sens qu'elle arrive bientôt au point de non-retour, je lui mets un doigt. Je lui fais des vas et viens rapides. Puis, dans un dernier râle, elle atteint à son tour l'orgasme.