Chapitre 26

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Suite de la scène précédente donc, cette scène peut choquer aussi les plus jeunes.

— Comment ça ? À toi ?

Je ne la regarde pas dans les yeux. Un peu gêné. Mais comme je peux être encore gêner après ce qu'il s'est passer ?

Elle prend mon menton et met mon visage en face du sien et le regarde en me faisant comprendre qu'elle veut que je lui dise.

— Je vais essayer de faire pareil que toi... Enfin... Seulement si tu le veux...

Je rougis tellement, je dois sûrement devenir rouge.

— Tu es tellement belle quand tu rougis Lizie. Et oui, je veux bien.

— Tu es sûre ? Je ne te garantis pas que je ferai aussi bien que toi.

— Lizie, me dit-elle en me regardant dans les yeux, ne te sous-estime jamais compris ?

— D'accord. Dis-je en baissant le regard.

Sur ces mots, je commence à l'embrasser. Il y a toutes sortes de sentiments dans ces gestes. Mes mains atterrissent dans ces cheveux et les tire doucement ce qui l'a fait gémir. J'adore ce son. J'aimerai bien l'entendre tous les jours.

Je me mets sur elle et commence à balancer mes hanches.

— Lizie...

Je la regarde, et y vois dans son regard un désir que je n'ai vu autre part, un désir sauvage, j'aime ça. Je commence à l'embrasser dans le cou et constate que quand j'embrasse là où il y a sa clavicule, elle est plus réceptive, donc je m'y attarde.

Je la regarde et je vois quel se concentre pour ne pas perdre le contrôle. Je descends progressivement pour la torturée un peu. Elle l'a compris.

— Lizie, si tu continues à me torturer de cette façon, tu le regretteras la prochaine fois... Dit-elle en me regardant droit dans les yeux.

Elle essaye de dissimuler un sourire.

« La prochaine fois ». Eh bien j'ai hâte d'être à cette prochaine fois. Mais je continue à l'embrasser mais surtout dans le décolleté, ce qui la rend folle, j'adore.

Je commence à mettre ma main sur son intimité et à la caresser doucement, par peur de lui ferme mal ou je ne sais pas. Je la regarde perdre le contrôle sous mes yeux. C'est magnifique.

— Lizie... Arrête de me regarder comme ça. Tu as un visage si... Innocent.

— Et c'est bien ou non ?

— Oh que oui, c'est bien.

Je sourie, l'embrasse dans le cou et commence à faire des mouvements un peu plus rapides. Elle commence à gémir. Ce doux son, je continue à l'embrasser dans le cou. Je me concentre sur le bouton du bonheur, elle se retient comme elle peut de gémir.

— Moi aussi je veux t'entendre.

Elle me regarde dans les yeux, je peux y voir du plaisir. Je l'embrasse tout en continuant mes mouvements. Elle se cambre, elle commence seulement à gémir mon nom à ce moment-là. Elle atteint quelques minutes plus tard l'orgasme. Elle n'est plus qu'une poupée désarticulée.

Elle pose sa tête sur mon ventre. Au bout de deux bonnes minutes, je lui pose la question.

— Alors... Comment c'était ? Dis-je, en ne la regardant pas.

Elle prend mon menton entre ses doigts et elle tourne ma tête vers elle.

— Tu recommenceras. Dit-elle avec un sourire en coin.

Je me sens un peu fière de lui avoir fait ressentir ça.

— Tu... Tu es sûre ?

— Bébé, elle se tourne et me regarde dans les yeux, c'était un des meilleurs orgasmes que j'ai eus.

Je deviens rouge, pas parce que ça me gêne, bon un peu quand même, mais surtout par les mots qu'elle emploie. Elle n'y va pas par quatre chemins.

— Tu rougis souvent, tu le sais ça ?

Je prends un coussin pour cacher mon visage.

— Oui je sais.

Elle m'arrache mon bouclier.

— Mais ! Rends-le-moi !

— Ma chambre, mon coussin.

— Je peux sortir de cette chambre pour en chercher une autre.

— Dans cette tenue ?

C'est vrai que je ne suis qu'en sous-vêtement.

— Oui.

— Tu n'oserais pas ?

Je n'oserais pas mais j'aime avoir le dernier mot.

— Si, j'oserais.

Je sors du lit et vais à la porte.

Elle se lève très rapidement, une rapidité impressionnante. Elle met ses mains sur mes hanches et elle me regarde droit dans les yeux.

— N'y pense, même pas. Il n'y a que moi qui peut voir ce corps ! Dit-elle en regardant mon corps avec gourmandise.

Je me penche pour l'embrasser. Je la regarde en souriant, fière de moi.

— Je n'allais pas le faire mais j'accepte ta défaite !

— Tu es diabolique.

— Je n'ai jamais prétendu le contraire.

Et dans cette bonne humeur et quelques baisers échangés, on s'endort, toutes deux apaisés d'être dans les bars l'une de l'autre.


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