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Quelques temps déjà est passé depuis la fois ou l'autre débile m'avait déposer à la maison. Je sais je sais, je lui ai redevable d'un grand service mais honnêtement il a le don de me mettre hors de moi ce pauvre con clairement.
De mon côté, tout ce passe plutôt bien mine de rien. Disons que Sûnia et moi même nous sommes devenues limite inséparables en si peu de temps, pour le grand bonheur de mes frères pour tout vous dire de mon côté aussi sa présence me fais un bien fou vous dire le contraire serait vous mentir. Le beau temps était revenue, la cité était de nouveau pleine à craquer d'enfant qui courait partout, jouais partout, criait et rigolait. J'aime beaucoup cette période de l'année je me sens un peu mieux.
D'ailleurs faut que j'aille rejoindre Sûnia, car madame a quelque chose de très important à me dire selon ces dires au téléphone. La connaissant, a tout les coups c'est quelques chose d'inutile mais bon on ne contrarie pas une mariée à une semaine de son grand jour. A peine ai-je eu le temps de sonner chez elle que Sûnia m'ouvre tout sourire et m'entraîne dans sa chambre toute heureuse en tapant des mains sous les rire de sa maman.
Moi - bon ok là t'es hyper chelou, tu me fous les jetons qu'est-ce qu'il y a ? Sûnia - assis toi ma soeur déjà.
Ok hyper bizarre le petit nain de jardin en face de moi, bon sans réfléchir bien longtemps je m'assoie et la regarde droit dans les yeux.
Moi - je t'écoute madame. Sûnia - tu sais en si peu de temps wAllah je te considère vraiment comme une sœur, j'ai plus d'estime pour toi que n'importe quelle « amie » que j'ai dans ma vie. Moi - ça me touche, tu sais que c'est réciproque mais chérie tu pouvais pas me dire ça par téléphone au lieu de me faire faire 45 minutes de route.
Dis-je exaspérée.
Sûnia - minute papillon j'ai pas fini, donc comme tu le sais j'ai toujours pas pris mes témoins car pour moi c'est pas forcément une obligation. Même si au yeux de cette foutue démocratie française si, en soit je t'annonce que j'ai qu'une seule témoin à mon mariage et que c'est toi.
