PARTIE 20

6.7K 261 19
                                    

𝒫𝑒𝓉𝒾𝓉 𝒸𝑜𝑒𝓊𝓇 𝑒𝓈𝓉 𝓉𝑜𝓂𝒷𝑒́ 𝓈𝓊𝓇 𝓊𝓃𝑒 𝒷𝑜𝓂𝒷𝑒.

Tu peux pas comprendre l'histoire d'une vie.

Mes larmes ne cessent de couler, j'ai jamais autant pleurer pour une personne hormis pour lui, il m'a tellement déçu et ces paroles tellement blesser

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.


Mes larmes ne cessent de couler, j'ai jamais autant pleurer pour une personne hormis pour lui, il m'a tellement déçu et ces paroles tellement blesser. Je pensais pas qu'il allait oser ne serait-ce qu'un jour avoir des propos pareils après la fois où il m'a vu plus bas que terre a l'île Maurice lors du jour de leur mort et il a oser vouloir me dire d'aller « niquer ma mère ». Je pensais pas Nabil de cette façon, enfin, je savais qu'il était impulsif et nerveux mais à ce stade je suis écœurée de lui et de sa personne.
Je marche pour rentrer chez moi, à pied, j'ai tellement les nerfs à bloc et je suis tellement blesser et déçu que je ne veux voir ni même parler à personne.

Au bout de quelques secondes une voiture s'arrête à mes côtés et se met à me faire des appels de phares, chose que j'ignore totalement.

... - Tasnym monte ta race.

Je me retourne et trouve Tarik les sourcils froncés qui roule tout doucement à mes côtés.

Moi - non foutez moi la paix.
Tarik - par Allah tu montes ou je descends et je marche avec toi et je cris partout pour te foutre la honte bas les couilles je fais comme un animal de la jungle.

Je le regarde en souriant légèrement et en secouant la tête, mais quel malade celui là.

Moi - t'es grave Tarik.

Il s'arrête à mes côtés et déverrouille les portes de sa voiture.

Tarik - azy monte.

Je le regarde pendant très peu de seconde puis fini par monter sans vraiment prendre le temps de ronchonner. Disons que je suis assez fatiguée et qu'il fait un froid de chien dehors.

Déjà quelques minutes que nous sommes en route en direction de chez moi, c'est assez silencieux ni lui ni moi n'osons parler enfin moi disons que j'ai surtout une boule de nerfs bloqué au fond de ma gorge qui risque d'exploser à tout moment. Sans même le vouloir mes larmes ne cessent de couler et sans mouchoir à mes côtés je me mets à renifler tel un réel bébé.

Tarik - c'est bon Tasnym arrête wAllah, tu sais comment il est...

Justement, je pensais savoir comment il était, je pensais avoir vu le vrai Nabil durant ces vacances mais en faite non pas du tout faut croire que c'était qu'un simple inconnu avec moi et qu'il est complètement différent de l'homme que j'ai connu durant ce séjour.

Cœur de bombe.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant