Le crime des soeurs Black

Chapitre 13

Bonjour ou Bonsoir, avant de commencer, je vais vous mettre quelques petites notes pour vous y trouver.

En gras, les dialogues.

En italique, les actions des personnages.

En normal, les pensées des personnages.

♤ ♡ ◇ ♧ ☆

"Le carnet secret des trois sœurs Black.

Narcissa :

Le temps passe à une vitesse ahurissante surtout en observant chaque jour mon fils, ce petit ange, grandir. Toutefois, en le voyant évoluer fièrement, la peur ne peut s'empêcher de s'insinuer en moi en le voyant devenir petit à petit un parfait Lord Black comme l'aurait été mon défunt jeune cousin, Regulus.

A chaque fois que j'y pense, mon esprit ne peut s'empêcher de repenser à ma conversation avec ma sœur, Bellatrix.

Début de la conversation :

- J'espère que tu as un plan concret pour que ton fils ne devienne pas le Lord Black, Narcissa.
- J'y travaille. Annonçais-je en buvant mon thé.
- Je te préviens, Cissa, que s'il ose ne serait-ce que penser le devenir ...
- Je sais très bien ce que j'ai à faire, Bella !
- Savoir ce que tu as à faire est une chose mais le faire en est une autre, ma chère sœur !
- Me vois-tu aussi incapable ?! Elle me regarde un moment en silence avant de reprendre.
- Pourras-tu le faire, Narcissa ? Je ne lui répondis pas de suite. Tu ne t'arrêteras pas, hein ? Tu ne nous trahiras pas ?! S'exclama-t-elle, me faisant voir rouge.
- S'il doit mourir, je le tuerais moi-même ! Hurlais-je.
- Bien. Pour nous, tu dois le faire s'il devient un danger, ne l'oublie pas, Cissa. Me rappelle-t-elle en me caressant la joue, affectueusement.
- Oui, pour nous, pour Maria.

Fin de la conversation :

J'aime profondément Maria, ma petite cousine mais j'aime aussi énormément mon fils, Draco. Pourquoi Bellatrix ne peut-elle pas comprendre cela, pourquoi m'oblige-t-elle à dire cela, à enfoncer le poignard plus fortement dans la plaie déjà béante ?

Chaque jour et chaque nuit, je prie désespérément pour qu'on retrouve au plus vite Maria, pour qu'elle puisse enfin accomplir ce pourquoi elle est destinée avant que je n'ai à commettre l'irréparable. Je ne veux pas avoir le sang de mon fils sur les mains et ma baguette.

Je ne veux pas êtrecelle qui me conduira à ma propre perte car j'ai compris depuis bien longtempsqu'en lui donnant la vie, il posséderait toujours avec lui une partie de moncœur et de mon âme. C'est pour cela que si elle nous a un jour aimé, qu'ellerevienne au plus vite, je l'en conjure. Pour nous, pour mon fils, pour moi. Ilfaut que tu reviennes, Maria !"