Tobias :
Elle a dit qu'elle le ferait mais je doute fortement de sa parole. Elle va vraiment me filmer en train de baiser avec cette petite dinde ? Ce matin encore, je lui ai demandé si elle était d'accord et elle a répondu, avec sa froideur habituelle, que oui. Ce que je fais est, en quelque sorte, une vengeance pour elle mais elle ne le sait pas encore.
Quand elle m'annonce Adriana Aconio, elle me fait un léger sourire, elle a compris pourquoi j'ai fait venir cette chipie. La belle rousse entre dans mon bureau en souriant. Elle est vraiment charmante avec ses yeux vert clair et ses taches de rousseur, elle roule des hanches jusqu'à moi dans sa robe moulante verte au décolleté en V plongeant sur une petite poitrine juvénile. Ce qu'il faut préciser c'est qu'Adriana Aconio n'a que seize ans. Elle croit que je l'ai invité pour l'emmener déjeuner mais elle se trompe lourdement.
Je tourne autour de la jeune fille avec un air de prédateur et la fais tourner sur elle-même en sifflant, elle rougit, jeune fille timide, c'est exactement ce que j'avais prévu. Je me mets dans son dos et la caresse sur les hanches en l'embrassant dans le cou, elle frissonne. Je la mords et elle crie de surprise mais je reprends mes caresses qui l'affolent. Je dégrafe sa robe doucement et la fais glisser le long de son corps.
- Monsieur Vasco, que va dire mon père ? Susurre Adriana d'une voix faussement outrée.
- Tu es une grande fille maintenant, tu peux faire ce que tu veux de ton corps, d'autant plus qu'il est charmant.
J'enjolive la vérité, elle est bien foutue mais pas assez bandante pour moi, trop maigre. Je continue de l'embrasser dans le cou, faisant glisser mes mains sur son ventre, ses cuisses et ses seins. Au bout de quelques minutes je libère sa petite poitrine de son push-up noir. Ils sont vraiment trop petits à mon goût mais je dois faire avec si je veux que tout se passe comme prévu. Je pince doucement les pointes qui dardent sous mes caresses et elle soupire de plaisir. D'un coup je la plaque à plat ventre sur la table de conférence, la maintenant par la nuque. Je crie le nom de Cassandre et j'attends que ma belle assistante entre. Elle fait son entrée discrètement. Finalement elle a osé mais va-t-elle aller jusqu'au bout ?
- Prends mon portable, le code est 1412 et enclenche la vidéo !
- Oui Tobias.
- Mais Monsieur Vasco, que faites vous ? Demande la petite fille prise au piège de mes mains puissantes.
- Je fais un petit film souvenir ! Écarte les cuisses !
Elle ne s'exécute pas donc je lui ouvre les cuisses brutalement grâce à ma main libre et lui arrache son petit string noir. La jeune fille crie et me supplie d'arrêter, je ris d'un air mauvais en lui disant que c'est le prix à payer pour passer un moment avec Tobias Vasco. Je baisse ma braguette et mon boxer et m'enfonce en elle, le plus profondément possible. Adriana Aconio est là, sur ma table de conférence, littéralement empalé par mon membre, elle pleure à chaudes larmes mais je m'en fiche complètement. Elle essaye de se débattre mais je la maintiens fermement par les hanches, enfonçant mes doigts dessus pour la marquer encore plus. Je me mets à fixer Cassandre qui filme en face de nous, elle est blême mais continue son office. Nos yeux se rencontrent et je vois de la peur dedans. Elle doit craindre que je lui réserve le même sort. Mais non, je ne ferais jamais ça à ma douce Cassandre. Je lui souris, essayant de la rassurer mais elle baisse les yeux sur la vidéo. Je continue mon œuvre en y allant de plus en plus violemment. À proprement parler, je la défonce et elle continue de pleurer comme une petite fille ce qui rend mon plaisir plus intense. Je me déverse dans la capote au bout d'un bon quart d'heure et me sors d'elle brutalement. Je jette le bout de caoutchouc dans la poubelle et rajuste mes vêtements. Adriana ne cesse de pleurer, toujours étalée sur ma table de conférence. Je lui relève la tête et la force à regarder vers Cassandre.
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Le patron de mes rêves - Saison 1 [Edité]
Romance"Les vrai délices passent par le supplice" Voila le credo de Tobias depuis qu'il est adolescent. Des qu'il la vu il a su qu'il la lui fallait. Elle s'est tenu droite, fière mais dans une attitude de soumission parfaite, les yeux baissés et les main...