Le patron de mes rêves - Saison 1 [Edité]

Chapitre 31

Tobias :

Je ne sais plus quoi penser quand je suis avec elle. Je l'ai supplié de me chevaucher, certes je n'ai pas dit les mots mais mes yeux le demandaient. Pourquoi suis-je aussi faible avec elle ? Elle est ma Cassandre et je devrais la dominer mais je ne peux m'empêcher de lui faire du bien, de la combler de bonheur. Je devrais pourtant lui faire mal comme à toutes les autres mais je n'y arrive pas. J'essaye de l'empêcher de me toucher mais ses mains sur mon corps me manquent terriblement, tellement que je ne pense qu'à ça quand on fait l'amour. Et nous y revoilà, je ne fais pas l'amour... Je BAISE ! Il va falloir que je me le rentre dans la tête.

J'attrape un verre et me sers du Whisky, elle n'est pas là, elle est partie chercher d'autres affaires chez elle selon mon ordre. Je le veux avec moi dans cet appartement. Je le veux près de moi. Je sirote mon verre et réfléchis. Comment faire pour qu'elle me quitte d'elle-même ? Je décide d'appeler Natalia pendant que Cassandre est chez elle. Je discute à peine une minute avec ma maîtresse et elle m'assure qu'elle sera là dans dix minutes. Cassandre nous trouvera en train de baiser et partira d'elle-même sans que j'ai besoin de la chasser, ce que je n'arrive pas à faire.

Natalia arrive et frappe à ma porte. Dès que j'ai ouvert je la fais rentrer brutalement dans le hall et lui enlève son manteau. Elle porte une robe noire si sexy que ça en est presque indécent mais ça me plaît. La robe est transparente et on voit bien ses dessous comme ça, un bustier et un string en cuir noir. Je déchire la robe et la balance dans un coin.

-                                 Tu es bien empressé Tobias chéri, susurre la jeune femme.

-                                 Je vais te baiser comme jamais ma toute belle !

-                                 Soit mon cœur ! S'exclame-t-elle en retirant son bustier.

Je l'arrête en cour et fais juste sortir ses seins opulents du bout de tissu. Je les pince avec force et elle gémit sous la douleur. Je la plaque ventre contre le mur et continue ma brutale torture sur sa poitrine. Je passe mon autre main entre ses jambes, elle est trempe de désir. Je souris, amusé de l'effet que je produis sur mes conquêtes. Je glisse deux doigts en elle sans douceur et elle étouffe un cri en se mordant les lèvres. Je la mords dans le cou et sur les omoplates.

Natalia est au bord de l'extase mais je dois faire durer le plaisir pour que Cassandre nous trouve dans le hall d'entrée en train de baiser. Je déchire l'emballage de la capote avec les dents et me protège, je rentre en elle violemment lui arrachant un cri de volupté. Je prends sa jambe sous mon bras pour bien lui écarter les cuisses et je la baise le plus lentement possible pour ne pas éjaculer trop vite.

J'entends la porte s'ouvrir et vois le visage surpris de ma Cassandre. Je me mets à défoncer Natalia qui hurle sous la violence de mes coups de reins, essayant de respirer à chaque fois que je sors un peu d'elle.

Cassandre passe devant nous avec son sac et rejoint la chambre sans un mot.

Je ne sais plus quoi faire, baiser Natalia ne me procure aucun plaisir alors je sors d'elle sans avoir joui et lui ordonne de se tirer. Elle me regarde de ses yeux ravagés par le plaisir, suppliante pour que je la fasse jouir malgré tout mais je lui crie de sortir d'ici. Elle enfile son blouson et sort de l'appartement sans demander son reste.

Je rejoins Cassandre dans la chambre qui est en train de ranger ses vêtements dans mon dressing.

-                                 Tu aurais dû frapper !

-                                 Et rater le spectacle que tu voulais m'offrir, soupire la jeune femme.

-                                 Que veux-tu dire ?