prologue.

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Tout d'abord je tenais à vous remercier. Vous tous qui lisez mes histoires. Vous pouvez pas savoir à quel point ça me fait plaisir de savoir que ce que j'écris plait aux autres. C'est vous qui me donnez la force de continuer... Alors je vous suis très reconnaissante😘

___________

Ma mère : J'EN AI MARRE MOHAMED. TU TE FOUS DE MOI.

Mon père : LAISSE MOI SORTIR AZAHRA...

Elle: NON TU N'IRAS NUL PART. TU N'IRAS PAS LA RETROUVER.

Et ça recommence. Je ne me souviens plus de la dernière fois où on a eu la paix dans cette maison avec mes parents. Ils ne font que se disputer à longueur de journée.

Mon père : AZAHRA. RAMASSE TES CLICKS ET TES CLAC ET CASSE TOI DE MA MAISON.

Là mon coeur s'est arrêté net. Certes ils avaient toujours l'habitude de se disputer mais la c'était plus que d'habitude. Jamais mon père n'avait ne serait-ce que évoqué le sujet de séparation. Il n'était jamais questions que ma mère s'en aille.

Ma mère : Qu... Quoi? Mohamed...

Mon père: Je te libère Azahra va t'en. J'en ai marre de te voir.

Vous savez quelle âge j'avais au moment des faits ? 8ans. Et pourtant je me souviens comme si c'était hier. Mon père n'a même pas tenue compte de moi quand il a libérer ma mère devant moi. Il est vrai qu'à un certain moment il ne se souciait plus de ma présence mais quand même pas à ce point. Pas au point de libérer ma mère devant moi. J'ai vu ma mère s'effondrer au sol et mon père sortir de la maison nous laissant. J'ai couru à ma mère et je l'ai prise dans mes bras.

Ma mère : Il ne me reste plus que toi maintenant

Moi: *pleurs*

Ma mère : Viens ma  chérie. Allons nous en.

****
Mon père : SORT D'ICI AZAHRA RENDS MOI MA FILLE.

Ma mère : JAMAIS. VA T'EN. MA FILLE RESTE AVEC MOI. LAISSE NOUS TRANQUILLE

Mon père : JAMAIS ARFAAH RESTE AVEC MOI.

Voilà et c'était un nouveau problème. Mon père voulait me récupérer et ma mère disait niete. Moi je ne savais plus quoi faire. Finalement, vu que leurs grand mère était toujours vivante on m'a confié à elle. Et chacun d'eux avaient le droit de venir me rendre visite. Je tiens à préciser que mes parents étaient cousins et donc mon arrière grand mère était leurs grand mère aux deux.

*8ans plus tard*
Je venais d'entrer dans mon lycée. En cette période du mois de Mars je ne vous dit pas la chaleur qu'il y fait.

....: Arfaah.

Je me retourne et vois Safia mon amie.

Moi: Ça va?

Elle: Oui et toi?

Moi: Bien.

On avance ensemble. J'étais plus que fatigué. La veille mon père était venu me voir du bureau et ma mère aussi par coïncidence. Et ils n'ont pas arrêté de se lancer des pics. 😥

D'ailleurs à la descente aujourd'hui il vient me chercher pour le déjeuner. Cette année la j'étais en seconde. Ouuais nouvelle lycéenne et tout. Et il ne se passait rien d'extraordinaire dans ma vie hein... J'allais et rentrais de l'école. Et chaque jour je déjeune soit avec ma mère soit avec mon père.

***
Papa: Plus tu grandit plus tu lui ressemble

Moi: qui?

Papa: Azhara.

Il l'avait dit dans un souffle. À croire que ça lui faisait mal de se rappeler de ma mère. Comme si on l'avait obligé à la répudier ce soir devant moi.

Moi: c'est normal.

Papa: ouii normal.

On a commencé à manger quand j'ai entendu le nom de mon papa derrière nous.

...: Mohamed Agarya.

Mon père : En se levant* Mahaman.

Je me retourne et vois un homme de la cinquantaine à peu près avec un garçon. Qui n'a pas encore 20ans je dirai. Mon père va serrer la main de l'homme qui s'invite à notre table avec celui que je crois être son fils.

Lui: C'est ta fille. Elle ressemble fort à Azhara.

Papa: Oui effectivement c'est ma fille.

Lui: Je te présente Hambaly mon fils.

Papa: Enchanté mon garçon.

Lui: Moi de même monsieur.

Moi j'étais resté silencieuse mais j'ai bien remarqué que ce Hambaly n'a pas cessé de me regarder. De même que son vieux père.

Mon père : Bon Arfaah je crois qu'il est temps que tu retournes à l'école.

L'ami à papa: De même que Hambaly. Elle fréquente quel établissement?

Mon père : ****

Lui: AAH Quel coïncidence. Hambaly aussi. Je vais la déposé si tu ne vois pas d'inconvénients

Mon père : Non allez y.

Je me lève pour faire un bisous à mon père et il m'en fait un sur le front.

Mon père : N'oublie jamais que papa t'aime Arfaah.

Moi: Moi aussi j'aime papa.

Je suis les autres et avant d'entrer Hambaly m'ouvre la portière. Et bah quelle politesse.

Moi: Merci.

J'entre et il entre à son tour.

Son papa conduisait et nous étions derrière. Il a voulu taper la Cosette mais je ne suis pas très bavarde alors il a laissé tomber. Et apparemment son fils aussi n'aime pas trop parler. Une fois devant l'école Hambaly descend et attends que je descende avant de refermer la porte.

Moi: Merci monsieur.

Lui: De rien ma fille.

Avant que je n'ai eu le temps de me retourner il était déjà parti. Hambaly. Je ne l'avais jamais vu pourtant. Certainement parce-que j'étais nouvelle.

Le Lion Et La PerleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant