Force à vous maître des mondes,
De qui toutes vies abondent
Comme une huitre qui laisse le vin
Rouge vif s’échappé dans un vacarme
Bon a ceux qui se disent bonnes âmes,
Et sirotent avec l’habilité des lapins.Force à vous lumière méconnu du monde,
Qui d’un fort gosier clame et gronde
Des hauteurs secrets, la fin et le début
De toutes choses, de toutes existences.
Ô Amour ; vérité, force et puissance
Des privilégiés qui vous ont vu et connu.Ô Amour, violente flamme qui inonde
Les cœurs et afflue dans la profonde
Essence de tout ce qui vie, vent des temps
Joyeux pour les doux, grand orage
Pour les moins doux, sang des sages
Courant dans leur cœur chaque temps.Ô Amour vie des vies ; même la Joconde
De Vinci ; grand bijou du vaste monde
Des arts et ses frères, et même tout l’art
Du monde ne sont pas plus splendide
Que vous ! Vous rendez mon cœur candide
Et faites mon insouciante jeunesse vieillard.Ô Amour assis au dessus des mondes,
De vous coule les merveilleuses ondes
De la sagesse qui circulent dans le corps
Comme le sang dans les royaumes
De la merveilleuse création. Vieille homme
Que vous êtes bon et gracieux tel de l’or.Ô Amour assis au dessus des mondes,
Vous tombez sur un inconnue une seconde
Et voici qu’il est jugé, châtier et crucifier,
Par des amers impitoyables calvaires,
Pour mourir et ressuscité et sa dernière
Montée sera pour l’élire savant justifier.Ô Amour assis au dessus des mondes,
C’est vous qui choisissez, si cela abonde
Dans le sens de votre bonne volonté,
A l’astre or l’astre lumineux nocturne,
Qui se fuyant tombent dans la fortune
Des cœurs d’un temps pour un temps de félicité.Vous m’avez choisi. Mon corps, mon esprit fondent,
Et je suis un papillon libre qui vagabonde
De fleur en fleur sous les flammes de votre grandeur,
Coulant vers les eaux qui me tentent,
Espérant trouver celle qui m’enchante.
Je suis un amoureux libre et plein de bonheur.