Amertume de mon esprit;
Qui vous êtes installée tant forte
Que folle, qui me brûlez et faîtes
Ressentir le plus grand mépris,Qui, comme un escroc à l'esprit
Semblable à de la chaire puante,
Vous êtes offerte toute brûlante
Les loges du sentiments incompris,Ce sentiment qui, dormant dans la rose,
Soufflant vers les cœurs, explose
Dans l'être, qu'il parfume de douceur,Vous est-il si pénible de comprendre
Que je ne vous veux pas dans mon cœur ?
Pourquoi ne voulez-vous pas me perdre?