Fake love - Todobaku

8.

Note d'auteure :
Je sais que certains m'ont demandé d'arrêter d'écrire ça à chaque chapitre mais est-ce de ma faute si je ne ponds que des chapitres 'caca' ces derniers temps ? Donc oui : ATTENTION CE CHAPITRE EST HYPER MEGA NUL mais il fait 2000 mots héhé.
Pour plusieurs raisons. Déjà j'ai perdu mes brouillons que je gardais dans mes notes à cause de mon foutu tel du coup j'ai dû le réécrire. Je ne me rappelais plus de mon mot de passe ICloud puis de mon mot de passe de tel puis de mon ITunes. Bref caca complet j'ai dû tout réinitialiser. Triste vie. Je dois tout réécrire.

Point de vue Shoto

Vous trouvez pas genre que mon futur mari il est grave louche wsh ?
Bref, je commence à craindre pour ma sécurité genre ça se trouve c'est un malade mental.
Mais bon c'est pas comme si j'avais un endroit où me réfugier... Puis ma mère m'a toujours dit d'essayer d'en apprendre plus sur les gens avant de leur coller une étiquette (prcq là clairement j'ai envie de lui coller l'étiquette de 'taré')

- Shoto tu veux qu'on rentre ensembles ? Demanda Izuku, comme si on est potos.

- Euh nan.

- Ok je t'attends dehors. Répondit le nain de jardin.

Je pris bien mon temps pour ranger mes affaires histoire qu'il en ait marre de m'attendre et se casse, sauf qu'il était persévérant de ouf. Genre on a fini les cours à 16h et maintenant il est 19h et le mec il m'attend toujours.

- Mais vas-y tu fous quoi ? Fit mon rival.

- Bah je passe le balais, m'attends pas. Répondis je comme si c'était une évidence.

- Mais wtf, d'abord tu me voles Katchan et maintenant tu veux voler le job des femmes de ménage ? Genre t'es kleptomane.

- Kestudi wallah.

Il n'ajouta rien sûrement choqué par mon petit côté 'momo qui bicrave'/'Moha de la street'
Ah mince, ma propre pensée me fit un pincement au cœur car ça me rappelle mon ex.
Vous savez genre la meuf dans le prologue que tout le monde a zappé et qui s'appelle Momo.

- Pourquoi t'as cet air nostalgique ? Demanda Izuku soudainement.

- C'est parce que je repensais à mon ex. Elle s'appelait...

- C'est bon me raconte pas ta vie frère, je t'ai juste demandé ça parce que j'avais envie d'utiliser le terme 'nostalgique' pour avoir l'air intelligent.

Après ce petit entrevu de qualité qui n'a rien apporté à l'histoire on décida de rentrer ensembles. Parce que ouais au final vu qu'il était 19h je préférais rentrer accompagner.

- Izuku t'es genre le voisin de Katsuki ? Demandai je, me rendant compte qu'on était presque arrivés et qu'il me suivait toujours.

- Bah j'habite assez proche on va dire, genre à quelques centimètres. D'ailleurs crois pas qu'on est pote, appelle moi Dieu stp c'est la moindre des politesses. Répondit Midoriya.

- Sérieux ? T'habite où ?

- Vouvoie moi. Je suis ton aîné. J'habite à Marseille à côté de Londres mais je te donne pas l'adresse, sale fou.

Il ment et en plus il est nul en géographie mais en vrai je m'en bats les steaks d'où il vit. Mais c'est juste au cas ou un jour je veux faire un gâteau et il nous manque des œufs ou au cas où y'a une fête des voisins comme ça je suis préparé psychologiquement à le voir.

- Sinon c'est quoi ta relation avec Bakugô ?

J'avais enfin réussi à poser la question qui me démangeait depuis le début.