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bonsoir,

j'ai fini d'être une boulette de viande donc voici le chapitre suivant. j'ai retiré la plupart des intrigues et des chapitres prévus et modifié mes plans pour un peu précipiter la fin. lisez la note d'auteure à la fin svp!

CECI EST UN CHAPITRE TRANSITOIRE avant la dernière partie de l'histoire

Point de vue Shoto

Cela fait un moment que la relation entre Bakugo et moi a commencé à s'améliorer pourtant je ressens une angoisse. Le pire c'est ce qu'il s'est passé l'autre soir quand j'étais bourré comme comme un trou de boule.

Merde j'aurais pas dû penser au mot boule, j'ai une image de Katsuki qui twerk maintenant et ça n'arrange pas le fait que j'essaie de me sortir ce mec de la tête.

J'ai l'impression que je devrais m'enfuir, oublier cette histoire et prendre un nouveau départ. Et si être revenu était la pire idée qui soit ?

Quand je suis avec Katsuki j'oublie mon devoir, ma morale et mes ambitions. La première fois j'ai tout foiré par déception après m'être senti trahi par ce dernier et cette fois je sentais que la déception serait encore plus grande. Je devrais sans doute remballer mes 7 fringues froissés et refaire ma vie avec Momo. Voilà les pensées qui me hantaient depuis quelques jours mais pourtant je n'arrivais pas à suivre ma raison, je n'arrivais pas à me détacher de lui. Et si désormais au lieu que cette relation ne soit qu'une excuse pour mon plan, ça c'est inversé et maintenant c'est ce plan qui n'est qu'une excuse pour passer du temps avec lui ?

- Double face ! Tu fous quoi ici ? Demanda le blond en s'approchant vers moi.

Lui il fait quoi ici même ? Il est pdg ou en chien sur moi ? (Le deuxième choix équivaut à chômage)
Je devrais me replier et l'ignorer tant que la situation n'était pas encore hors de contrôle. Ignore-le, vas chez Mimi-momo, pense à toi Shoto, me soufflait ma conscience.

Pourquoi est-ce que mon corps refusait d'écouter ma raison ? Pourquoi restais-je immobile à fixer cet imbécile ? Pourquoi avais-je une envie irrépressible de sourire au lieu de m'enfuir ?

- T'as perdu ta langue ou tu ne comprends que les insultes ?

- La ferme. Lâchais-je.

- Avoue tu répondais pas juste parce que t'avais envie que je continue de parler. T'aimes ma voix.

- Dans tes rêves. Répondis-je essayant de contenir mon amusement et de garder un faciès neutre de mec badass.

- Dans les tiens plutôt, dans les miens tu ne me fermes pas le clapet par des paroles mais autrement. Si tu vois où je veux en venir on fait des trucs pas catho-

Je lui donnais un coup à l'épaule pour qu'il se taise.

- ech- Faisons l'amour pas la guerre.

- Tu ne te tais jamais idiot ? Retourne sur le trottoir d'en face si j'y suis. Soufflai-je la tête baissée pour cacher le fait que j'étais aussi rouge que la couleur rouge.

- Le truc c'est que tu n'y es pas.

Mon cœur manqua un battement. Je devais partir, stopper tout avant que tout ne m'échappe.

Je commençais à marcher pour m'éloigner du jeune PDG.

- Où tu vas ? C'est pas par ici que je veux qu'on aille. S'écrit le blond avant de me rejoindre.

Je tentais de le distancer. Ne me suis pas, laisse-moi partir. Cependant tandis que je faisais 1 pas il en faisait 2, quand j'en faisais 10 il se mettait à courir.

- Arrête de me suivre.

- Je ne te suis pas, je vais dans la même direction demi-roux. Mentit ouvertement le jeune homme.

Je fis comme si je le croyais pour ne pas ouvrir une conversation. Il finira bien par se lasser ?

Au bout d'une heure il était toujours là à me suivre.

- Tu comptes arrêter de me suivre quand ?

- Je ne te suis pas.

- Evidemment que tu me suis. Sauf que c'est inutile, il n'y a pas de destination. Lâchais-je.

- Et toi comptes arrêter de me fuir un jour ? Rétorque soudainement Bakugo en agrippant mon épaule pour m'obliger à stopper ma marche.

- Je ne te fuis pas.

- Faisons semblant de se croire alors. De toute façon tu as l'air d'adorer jouer la comédie.

- Faisons ça.

Je repris mon chemin sans lui accorder un regard. Pourtant j'entendis ses pas se joindre aux miens. Je continuais de marcher mais aucun de nous deux ne parlait. On a marché ainsi sans compter les heures qui s'écoulaient, les mètres qui s'étendaient, car rien ne comptait.
(Surtout pas Katsuki vu qu'il ne sait pas compter)

C'était comme si nous étions seuls au monde, seuls et ensembles à la fois.

La nuit était rythmée par nos battements de cœur et nos soupirs.

Il commença à pleuvoir. Nous étions au printemps alors j'étais habillé léger (et aussi parce que je n'ai qu'un seul manteau et il n'allait pas avec mon outfit mdr donc j'ai préféré avoir froid). Pourtant je ne sentais pas le froid, je n'avais pas le temps d'avoir froid il fallait que je m'échappe.

Soudain je sentis mes jambes faiblir et mon corps s'alourdir comme si j'étais allé au buffet asiatique et que j'avais trop mangé. Je m'effondrais au sol, et chelou mais le sol avait des abdos bétons acier ce qui faisait clairement plus mal que le gravier wsh.

Ah c'est pas le sol c'est Katsuki. Je m'endormis finalement en espérant pour que lorsque je me réveille je sois aux côtés de Momo dans son appartement de luxe et que tout ça, toute cette histoire ne soit qu'un rêve. Un rêve qui ne se réalisera jamais.

Le dernier tableau qui s'est imprégné dans mon esprit avant que je ne perde connaissance c'est moi qui tombe comme une merde sur Katsuki comme si c'était un matelas et j'ai de l'eau qui coule sur mes joues (c'est la pluie hein je suis pas non plus un fragile level max).

🌟
coucou

désolée de ne pas avoir répondu individuellement à vos messages, j'étais un peu trop honteuse pour en avoir le courage.

merci beaucoup pour votre soutien.

je ne sais pas encore si je vais continuer à écrire cette fanfiction en toute honnêteté par manque de temps mais aussi parce que j'aimerais évoluer et grandir.

écrire ce genre d'histoire m'aidait à oublier mes soucis, la réalité et me donnait de l'importance. je voulais me sentir drôle, je voulais qu'on me trouve drôle. parce que je suis timide dans la vraie vie alors je n'ai personne qui faire rire. je voulais qu'on écoute ce que j'ai à raconter et qu'on se mette un peu dans ma tête. parce que personne n'écoute mes histoires quand je les racontes dans la vraie vie. je voulais avoir quelque chose dont je suis fière. parce que je n'ai rien d'autre.

enfin c'est ce que je pensais. j'aimerais arrêter d'écrire et de faire les choses pour effacer ou combler ce que je désire réellement. que ça soit dans l'écriture, dans les études ou dans mes relations. je veux juste faire ce que je veux réellement et pas un substitut.

je pense écrire l'histoire que j'ai en tête et que j'ai réellement envie de raconter plutôt que l'histoire que j'ai écrite pour plaire.

(J'ai commencé l'écriture de cette fanfiction pour ma petite sœur qui ne l'a lit même plus.)

Je vais commencer à écrire des romans un peu plus travailler.
Pour le moment j'ai prévu de poster cette fanfiction quand l'envie me prend, sans réellement y penser en espérant la finir.
En soit elle est bientôt finie mais voila.
Ce qui est sûre c'est que le prochain chapitre ne sortira pas avant mon deuxième concours 🙃

Fake love - Todobaku Où les histoires vivent. Découvrez maintenant