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Neuf

"Jennie: Un jour je vais vraiment finir par frapper cette peste ! Dit-elle en s'énervant.

Moi: T'inquiète pas, moi aussi. Du coup je dois garder cette attelle 2 semaines et je suis dispensées de sport 3 semaines. Me plaignais-je. J'aime pas avoir une attelle. Mes genoux saignaient beaucoup, c'est Jungkook qui m'avait aider à aller jusqu'à l'infirmière en me portant."

Elle se tourne vers moi avec un sourire malicieux en soulevant ses sourcils activement.

"Moi: Si tu me parle d'alchimie, de liaison ou de mignonnerie, c'est toi que je vais frapper. Dis-je sans lui laisser le temps de parler.

Jennie: J'ai rien dis ! Répond t-elle en levant les mains en signe de paix."

D'ailleurs, il faut que je rende le cahier au noiraud, il en a sûrement besoin.

"Moi: Tu sais où est Jungkook ?

Jennie: Non, pourquoi ?

Moi: Je dois lui rendre son cahier. Alors je vais aller me chercher. Tu m'accompagne ? Demandais-je en me levant.

Jennie: Non je vais rester là à penser à Namjoon. Répond t-elle en souriant."

Je lui lance un dernier sourire avant de partir. Après quelques minutes, je trouve enfin le noiraud qui est avec ses meilleurs amis.

Je m'approche d'eux et les salues tous avant de m'attarder sur le noiraud qui me fixait.

"Moi: Tiens. Dis-je en tendant son cahier. J'avais oublier de te le rendre hier.

Jungkook: Ah...Répond t-il en prenant mon cahier. Merci alors.

Seokjin: D'ailleurs pourquoi tu a une attelle, Haneul ? Demande t-il curieux en se tournant vers moi."

Presque automatiquement, je dirige mon regard sur le noiraud qui me fixait toujours.

Nos regards se croisent, nos pupilles se rencontrent une fois de plus et le vide dans ses yeux se manifeste encore.

Je me tourne vers Seokjin qui nous observer.

"Moi: Je suis tomber au cours de sport. Repondis-je avec un sourire.

Taehyung: Bon rétablissement alors. Me souhaite t-il avec un regard compatissant.

Moi: Merci."

La sonnerie retentit, ce qui annonce le début des cours.

Quelques heures plus tard...

Il est 17h30 et j'ai enfin finis les cours. Je sors rapidement de la fac et souffle un bon coup dehors avant de m'étirer.

L'air est fraîche, ça fait du bien.

Je remet mon sac correctement sur mes épaules et regarde aux alentours de l'arrêt de bus.

Mais mon regard se fige sur cet homme, le même qu'au centre commercial.

Il semble avoir la trentaine, il porte un costard bleu marine, une chemise blanche sans de cravate, des chaussures lisses et propre et une montre qui brille de mille feux.

Il tourne sa tête vers moi et se met à me fixer.

J'hésite à aller lui demander pourquoi il fait ça, mais en même temps j'ai peur de tomber sur un psychopathe fou qui veut me kidnapper dans une cave remplie d'insecte en tout genre qui veulent me dévorer toute crue.