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Trente

Je pense que c'est la goute d'eau qui a fait débordé le vase.

Nous sommes actuellement chez le noiraud, tout le monde est là, même Jennie.

Une Jennie en colère qu'on ne lui ai rien dit sur leurs vampirisme.

Elle nous en veut, mais elle nous aime trop pour nous bouder à vie.

Alors elle est revenue vers nous, avec cet air joyeux et à commencer à poser pleins de questions sur eux.

Jusqu'à la fameuse question du sang...

Oui, elle a demander si ils ont déjà bu du sang humain.

Ils lui ont répondus que oui, mais quelques fois et qu'ils ont arrêtés.

Mais, c'est alors qu'elle se tourne vers moi.

Et vous savez ce qu'elle a demander ? Oui vous le savez. On la connaît, c'est Jennie.

Elle ma demander si l'un d'eux à déjà essayer de me mordre.

Voici la goute qui a fait débordé le vase.

Bien sûr, ils se sont tous tournés vers le noiraud.

C'est alors qu'elle a compris qu'un truc clochait.

Alors elle s'est tourner violemment vers le noiraud et a commencer à lui crier dessus.

Son petit copain l'a retenait, pendant qu'elle criait sur le noiraud.

«Comment tu a pu faire ça à ma meilleure amie ?! Comment ?!» Voilà ce qu'elle répétée.

Et ça m'a brisée le cœur de la voir comme ça, les larmes aux yeux, entrain de crier sur le noiraud.

On n'a pas eu le temps d'expliquer la situation, donc elle n'a pas compris.

Son petit copain l'a sortie de la demeure pour la calmer, tandis que tout le monde était silencieux.

Ses paroles revenaient comme un boomerang dans ma tête.

Et c'est en pleure et en sanglot, que je fonce dans une salle au hasard du palais et m'y enferme dedans.

Bien sûr, je devrais préciser que j'ai d'abord monter les escaliers.

Donc je suis là, à pleurer, trembler, paniquer et inquiétée pour ma meilleure amie.

C'est alors que je lève ma tête, et m'aperçois que je suis dans la chambre du noiraud.

Quand on parle du loup.

Je sèche mes larmes et calme mes sanglots.

Je me lève et parcours toute sa chambre, si propre, si net, si rangée, si lui.

J'ouvre quelques placards par-ci par-la et entre ensuite dans sa salle de bain.

Je regarde partout autour de moi. Rien d'interessant, c'est juste une salle de bain.

C'est alors que je pose ma main sur la poignet de porte, mais là porte s'ouvre.

Le noiraud entre et referme la porte derrière lui.

Il s'éclipse derrière moi et ouvre un placard. Il semble chercher quelque chose.

Il en sort une serviette noir et le pose autour de ses épaules, puis se tourne vers moi.

"Jungkook: On ne va pas reparler de ce qu'il s'est passer il y a quelques minutes. Ça me fait ni chaud ni froid tout ce qu'elle m'a dit. Pense-en ce que tu veux, chacun son avis."

Je m'approche de lui et pose délicatement ma main sur son visage.

J'effleure chaque recoin de ses yeux, cils, sourcils, front, joue, nez pour descend jusqu'à la bouche.

Mon pouce se pose délicatement sur ses lèvres.

Ses yeux sont fermés, signe qu'il apprécie.

"Jungkook: Tu va me rendre fou Haneul. Dit-il d'une voix rauque et horriblement suave, tout en ouvrant doucement ses yeux."

Je n'arrive jamais à qualifier tout ces moments qu'on partage quand nous sommes juste tout les deux. Toute ces provocations, taquineries, dragues...tout.

En le voyant, mon corps s'est apaiser, et mon esprit s'est réveillée.

"Jungkook: Tu aime beaucoup me regarder comme ça. S'horne t-il d'un sourire malicieux.

Moi: Tait-toi s'il te plaît. Répondis-je aussi doucement qu'il le fait."

Le noiraud pose sa main sur ma main qui était sur sa joue et la saisie doucement.

Puis il me pousse contre lui et enroule ses bras autour de moi.

Son souffle s'écrase contre ma nuque.

"Jungkook: Je ne pourrais plus résister longtemps, donc sors vite de ma chambre."

Sa voix est ferme, douce et tranchante à la fois. Mon dieu mais comment fait-il pour affoler mon cœur juste a de simples paroles ?