Accoudée au comptoir
Caressant ta crinière
Tu m'invites à y boire
Ô toi qui sais nous plaire
---------------------------
Rougeoyants dans l'azur, tes cheveux écarlates
Arrêtent mon usure pour peu qu'ils éclatent
Absorbant les lumières d'une couleur du céleste,
Tes yeux, frontière irréelle à l'auteur d'une peste.Si c'est bien une Muse qui apparut cette nuit-là
Elle était si belle, j'en plains même aux puissants dieux;
Et pour la revoir, s'il le faut, pourquoi pas
Je poserais la plume, l'encre, et la vie d'amoureux...... Mais lequel oublieras-t-on de tous les riverains ?
Celui qui vit la muse et pourtant ne fit rien !
Il le sait que peut-être l'envie n'est qu'un rire vain
Et il le sait, s'amuse du devoir d'écrivain.
--------------------------
Encodée, illusoire
Alexandrin d'hier
Je m'invite à te voir
Sans lois et dans les fers
VOUS LISEZ
Les Essais Poétiques De L'Oncle Steuregg
PoesíaPoésie de la nature, poésie prise pour elle-même, poésie engagée et poèmes d'amour; vous trouverez ici les étapes d'une vie mises en poésie ainsi que plusieurs essais purement poétiques, dénués de sens et de messages. De votre Oncle...