Vivre sous l'emprise de l'alcool

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Ni trop peu, ni trop tard
J'arrive connard, je rive peureux
Que vive si peu ces Ménards !
Extrême que j'implique, qu'en fait l'aveu
Je ne veux, que de toi vivre le regard

Sans alexandrin, sans règle ni regard
Sans fils de putain, sans même un chemin
Je ne veux qu'amour, que désespoir
Que tes déboires deviennent malins

Que ses pourboires reviennent enfin.

Pleurs, fin, agonie.
Meurs, craint, c'est fini.
Connard, fils de pute.
Trop tard, c'est leur rut.

Les Essais Poétiques De L'Oncle Steuregg Où les histoires vivent. Découvrez maintenant