Un jour à me faire rire
Le suivant à mourir.
Vous me faites vivre
Me rendant ivre
De votre joie entaché
De vos faux problèmes
Si bien inventés
Pour me rendre blême.Sans cesse stupéfait
De cette folle banalité.Le soleil sur vos têtes
Tant demandé par votre esprit
La plainte vous entête
Tant attendu par votre ego.
Jamais il ne faudrait que joie vous prenne
Au risque de paraître... Sans une peine ?Sans pause stupéfait
De vos ennuis surfaits.Parlant, parlant et parlant
Sans jamais penser à ne faire semblant
Pleurant, pleurant, pleurant
Et votre peine emballant.
Riant, riant et riant
En croyant cacher le semblant.Encore et toujours stupéfait
De vos paradoxes souhaités.Regardez comme vous êtes joyeux!
Voyez comme il vous tend l'heureux!
Pensez, ne serait-ce qu'une seconde
Que rien de si tristes ne vous sonde.Stupéfiantes banalités
Incroyables fruits sucrés.Chaque jour à me faire mourir.
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Les Essais Poétiques De L'Oncle Steuregg
PuisiPoésie de la nature, poésie prise pour elle-même, poésie engagée et poèmes d'amour; vous trouverez ici les étapes d'une vie mises en poésie ainsi que plusieurs essais purement poétiques, dénués de sens et de messages. De votre Oncle...