Chapitre 2

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Je sors en trombe du bâtiment littéralement tirée par Oscar qui apparement était pressé de sortir puis manque de me prendre un poteau.

Lesley: Oscar !

Je m'offusque et regarde furtivement de droite à gauche pour voir si personne ne m'a vue.
Apparement non.
Oscar s'arrête et me regarde puis tire à nouveau pour pouvoir avancer ce qui manque pas de me faire sortir de mes gonds.

Lesley: Oscar !!!

Cette fois ci, mon chien me regard l'air penaud et je suis obliger de lui faire les yeux doux pour lui dire que tout vas bien.
Faible que je suis...
Tandis que nous marchons à travers la ville de New-York, j'en profite pour respirer l'air frais et m'enfonce de plus en plus dans les rues presque désertes et sombres.
Je serre là laisse de mon chien et continue ma marche mais un peu plus vite cette fois-ci.
Mais quand j'entends une voix masculine, je m'arrête net.
Je reprends ma marche doucement pour ne pas faire de bruits et plus je m'avance, plus j'arrive à attendre des brins de la conversation.

Voie inconnue: T'a intérêt à te faire pardonner crétin ! Si tu ne veux pas disparaître de la surface de cette terre.

Je m'approche de plus en plus et découvre au creux d'une ruelle deux grands mecs habiller tout en noir qui maintienne un homme contre un mur.
Plus loin un autre mec que je n'arrive pas à distinguer se tiens dans l'ombre. Son costume blanc rayonne à travers la faible lumière qui passe par là.
Le gas maintenue contre le mur essaie de cracher sur les deux molosses qui le tienne fermement mais ne parvient qu'à faire rire celui en costume blanc.
J'essaie de bouger pour pouvoir voir sa tête quand il parle d'une voix rauque et très menaçante.

Inconnu: Merlin, Merlin, Merlin ... tu nous perdre notre temps là tu le sais ça? Alors je te le redis encore une fois. Sois tu rembourse tes conneries, sois tu crève et personne ne saura ce qu'il t'es arrivé.

Je déglutis.
Comment peut on être aussi cruel? Il ne vas quand même pas le tuer ? Si ?
J'ai l'impression de revivre une scène dans ma tête.
Je me force à rester concentré sur leur discussion, mais les souvenirs m'emporte plus loin que je ne le pensais.

Flashback

Je suis dans les bras de ma mère qui s'est endormie.
Elle a ses bras tout autour de moi et la tête au creux de mes épaules.
Je bouge un tout petit peu et l'observe avec attention.
Demain, j'aurai dix-huit ans et je serai majeur.
Je lui repousse ses cheveux qui s'entremêle aux miens puis me relève doucement sans la réveiller.
Il est neuf heure du soir et nous avons toujours rien mangé. Imani est partie faire les courses pour ce soir.
Soudain, j'entends des gens crier depuis le bas de notre appartement.
Je cours vers la fenêtre et découvre une femme plaquée contre le mur de notre immeuble.
Un homme la menace avec un pistolet tandis que deux autre la maintienne fermement et je reconnais immédiatement cette voie.
Imani !!
Je cours dans l'appart et attrape mon téléphone pour appeler la police. Ensuite, j'allume la musique pour dissimuler les bruits à l'extérieur et descends deux marches par deux pour pouvoir sortir de l'immeuble.
En arrivant dehors, je crie:

Lesley: Laissez-la tranquille !!

Imani se retourne vers moi et me crie dessus.

Imani: Lesley?! Remonte immédiatement en haut !!

Mais je ne l'écoute pas. Je me rapproche je d'elle et la prends par la taille.

Lesley: C'est hors de question!

Elle essaie tans bien que mal de se dégager des deux mecs qui la maintienne toujours contre le mur et je me retourne vers celui qui se tiens de l'autre coter de la ruelle.
Mon père, qui apparement trouve cette scène très drôle.
Je le regarde d'un air mauvais et lui hurle dessus.

Is It Love Maccini 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant