Chapitre 1

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Bonjour, bonsoir à tous ceux qui lisent cette histoire et bienvenu. Voici le projet final de mon histoire Vaillance. Après réécriture je sort enfin la version étoffé. je n'ai rien à dire à part merci de la lire ou de l'avoir lus. j'espère qu'elle plaira toujours autant malgré les modifications. Je tiens à précisé qu'il est possible que des chapitre bonus sortent, je ne sais pas quand mais j'essayerais de trouver l'inspiration pour les écrire. Mercie encore <3<3<3.


***



La sonnerie du réveil retentis, me sortant sans douceur de mes songes. Mes membres sont endolorie à par la veille.



Maman m'observe après un temps d'attente qui me parait interminable ses mots résonnent, « Monte dans ta chambre... J'arrive ».

Il ne lui faut qu'une ou deux minutes avant qu'elle ne pénètre dans la pièce. Un sac de sport sale pendant de sa main, je sais déjà ce qu'il y a à l'intérieur, j'en est déjà fait les frais.

- Nagisa, ma chérie. Montre moi comme tu es belle... !

- Tu sais que je ne mérite pas ton attention Maman... Un dialogue que nous récitions à chaque fois, comme un disque rayé, des paroles macabre sans sens réel.

Malgré tous, je m'exécute, « A genou » résonna-t-il dans mon dos alors que je m'étais tourné. J'obéis.

Elle fouilla dans le sac, je pouvais l'entendre mais pas la voir, j'avais l'aire d'un criminelle attendant son châtiment. Sans tarder une vive douleur retendis sur mon épaule droite, laissant derrière elle une sensation de brûlure. Le fouet, un martiné pour être plus précis, acheter il y a deux ans, dans une animalerie. Non n'avons jamais eu de chien. Voilà ce quelle avais choisi pour commencer la « correction » qu'est appelé cette torture. Les coups s'enchaîne, en premier dirigé essentiellement sur mes épaules quand la sensation de brûlure fis place à une nausée les coups détendirent s'étendre sur le reste de mon dos, mes côte mes reins tous y passa, rien ne fus oublié.

Mon dos devais être écarlate quand elle se lassa enfin de le brutalisé. Des larmes coulait sur mes joues, et ma gorge me tiraillait de retenir mes cris et mes sanglot. Heureusement elle avais terminé, elle n'allais pas tardé à repartir ? Quand un espoir survint à moi un nouveau bruissement de tissu se fis entendre, mes pleures redoublèrent de force quand une lame froide se pressa contre ma peau. Des frissons de terreur et d'anticipation s'entendirent sur mon épidermes. C'était une lame courte, d'une demi phalange. Mais trais fine, je savais qu'elle était rattaché à une baguette qui servais pour l'élan. Chacune des coupures était accompagné d'une insulte ou un mot blessant, elle ne se gênait pas pour me blesser à coups de pied. Les supplications que je lui adressais ne servait à rien, elle les ignorait simplement me rappelant à quelle point je ne valais rien, que je n'étais personne.



Des larmes remontais et s'écoulèrent de mes yeux. La douleur était trop forte, je ne pouvais retenir des sorte de geignement de m'échapper. En poussant sur mes membres déjà à bout je réussis à me lever, machinalement mes pas empruntèrent le chemin de la salle d'eau.

La première chose qui me frappa fus mon reflet dans le miroir. Mon corps était meurtri, des bleus et plaies recouvrai presque tous mon dos, quand une plaie n'y était pas une croûte ou cicatrice s'y trouvait. On aurais pu croire que je m'était jeter dans des ronces ou sous les roues d'une voiture si mes blessures n'était pas si droites.

Attrapant un désinfectant je nettoyais mes plaies, sous l'eau tous mon corps me brûlait, je n'arrivais pas à le rincé à l'eau chaud, je dus prendre une douche froide. Bien que c'était une autre épreuve la douche était un des moment que je préférais, j'étais seul, au calme et personne pour me déranger. J'appréciais également le collège, car même si de nouveaux bourreau m'y attendais à par des bleu, ce n'était jamais pire qu'ici.

En sortant je la douche je bandais mes plaies et mis des pansement sur celles qui n'était pas couverte par les bandes de coton.

Le plus discrètement possible je descendis les marches, je ne devais pas la réveillé au risque de souffrir de nouveau. Un challenge que je réussissais à remporter à chaque fois.

Arrivé à la gare une tête familière m'apparus. C'était une tête rougeoyante, Karma attendait son train en fixant son téléphone.

Je m'approchais du quai, je ne le rejoignis pas, cela faisait déjà un moment que nous n'étions plus ami, de plus son groupe s'amusait à me faire passer des moments plus que désagréable. Lui ne me faisait rien à proprement parler mais il ne cherchait pas à me défendre non plus, c'était une des pires choses selon moi, quelqu'un qui voit, mais ne dit rien, il était alors selon moi autant impliqué que les autres. En plus je soupçonne une certaine forme de sadisme chez lui vu toutes les bagarres ou il a pris part il doit forcement aimé ça.

Je soupire en me rappelant notre amitié passé. Du coin de l'œil je l'observe, pourquoi est-il ici ? Soudainement il tourne la tête dans ma direction comme s'il avait sentis mon regard, il entama un pas vers moi, j'eus un mouvement de recule mais ne me détourne pas, s'il voulait me jeter sur les railles qu'il le fasse. Avec le peur vint la curiosité, que me veut-il ?

Vaillance [Yaoi],[BL]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant