Chapitre 5

4.5K 200 6
                                        

PDV Nagisa :

- C'est moi qui doit t'accompagner idiot !

Je sentis mon souffle accélérer, devenir laborieux. Mes yeux devenais lourds, mon corps semblait peser des tonnes. Soudain plus rien, les bourdonnements incessant s'arrêtèrent, les voix impertinentes aussi, je ne vus plus rien.

Je sentais une odeur écœurante de produit désinfecter. La lumière m'éblouit à travers mes paupières, je fermais fort pour faire partir cet sensation de brûlure. Quand je fus capable d'ouvrir les yeux je détailler la pièce. Des murs blanc,un rideau à ma gauche qui m'empêcher de voire le reste de la pièce, une fenêtre à ma droite, un écran en face. J'apposais mon regard sur mon propre corps, un draps fin me recouvre, des rebord en plastique entourait les bordure du lit, caractéristique des lits d'hôpitaux. Je pouvais sentir mon stresse monté doucement. Des pas et un mouvement se fit derrière le rideau, une jeune femme en tenu infirmière apparu.

- Bonjour Mr Shiota, bien réveillé, comment vous sentez vous ?

- Je.. J'ai, qu'est ce que je fais là ? Dis-je après avoir réussit à rassembler les mots pour former cette phrase. Infirmière me donna un regard plein de compassion.

- Vous êtes à l'hôpital, on nous a mis au courant d'un malaise pendant un cour.

- Qui... Comment ?

- Un jeune homme à appeler les urgences, il semblait vraiment inquiet.

Je ne dit rien, les mots me manquaient.

- Tous vas bien ?

Je ne répondit pas.

- Vous pouvez me parlez, je ne vous jugerai pas, même s'il s'agit d'une insulte contre moi.

Je ne lui faisait pas confiance, je ne le pouvais tous simplement pas. J'avais essayé dans le passé mais la personne en qui j'avais placé toute ma confiance l'avait piétiné. Je la regardais avec des yeux vide, perdue dans mes pensé.

- Monsieur Shiota ?

- Ah, Heu... Oui d'accord, merci.

- Il faudra aussi que je te pose des questions concernant tes blessures.

Mon sang quitta mon visage.

- Quoi ? Comment ça ? Demandais-je la voix plus posé que je l'aurais crus.

- Vous savez, vous en êtes vraiment couvert, cela doit-être douloureux. Ça l'était. Ça ne va pas vous faire plaisir mais quand on vous à changé on a dus vous enlevez vos bandages, ont vous à désinfecter et recousus celle qui en avait besoins.

Je ne dis plus rien, je n'avais rien à répondre. Tous ce que je savais pour le moment c'est que je ne pouvais pas rester ici, je ne voulais pas. Ça nous attirerais des problèmes. Il fallait que je quitte l'hôpital.

Le soleil avait commencer à déclinais, tintant le ciel d'une couleur orangé. Les couloir étaient calmes, des pas se faisait entendre de temps en temps mais rien de régulier.

Je m'était changé avec mes habit qui avait était plier sur un siège de la salle. Je n'eus pas besoin de chercher d'autres bandages car ils avaient était remplacer. Aussi discrètement que possible me levais du lit, c'était difficile mais j'ignorais la douleur, personne d'autre n'occupait la chambre à par moi. Doucement j'ouvrais la porte, glissais ma tête pour vérifié que personne n'arrivait. Quand je fus sûr que les infirmiers ne passerais pas je me dirigeais aussi naturellement que possible vers les ascenseurs en suivant les pancartes affiché sur les mures. Les portes s'ouvrirent sur le hall d'entré. J'arrivais devant la porte quand derrière moi j'entendis qu'on appelait mon nom. Je l'ignorais et continuais ma route.

Je pris le métro, il avais du retard. Je passais le pas de la prote au alentour de 23h. Il n'y avais aucun bruit dans la maison, personne pour venir me souhaiter un bon retour ou d'inquiété de mon retour tardif.

Demain je devrais sûrement expliquer les raisons de mon absence le reste de la journée. J'espère qu'il ne s'était pas inquiété.

Mais pourquoi je me soucis de quoi il pourrais penser, je m'en fiche !

Vaillance [Yaoi],[BL]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant