Vaillance [Yaoi],[BL]

Chapitre 7

Il baissa les yeux et la tête perdant sont aire arrogant habituelle.

- Tu veux que je te dise ?

- De quoi tu parle ?

- Je suis désolé, je m'excuse de t'avoir fait souffrir, je regrette. Je m'en vœux et je te demande pardon.

Je ne bougeais plus figé sous le poids de ses mots, personne ne m'avais jamais demandé pardon. Mais ça n'avais le goût que j'aurais aimé. C'est amère et sucrée à la fois. Mais il me reste un goût acre sur la langue.

Je n'arrive pas a croire je lui pardonne avec de simple mots. Après tous ce temps,, ces 2 ans n'ont peut être rien était pour lui mais ils m'ont marqué.

Il avait toujours la tête baissé, j'eus soudainement une poussé de colère.

- Non, il releva la tête et me regardait maintenant dans les yeux, Tu crois vraiment que je vais te pardonné, hier encore tu n'as rien fait et maintenant tu me fais ça ?! Tu pense que je vais te croire ? Tu m'as vus pleurer, crier de douleur et supplié, mais bizarrement cette nuit tu t'es dit « tiens j'me sens mal », et puis même si je venais à te croire, tu pense que tu mérite mon pardon ? C'est une blague ?! Tu crois que notre amitié était une farce, parce que je pense que tu as oublier ce que nous avions et que tu as balayer ! Je suis désolé que se soit moi qui te le dise mais Karma Akabane tu est vraiment la pire personne que je connaisse. Il ne disait rien, ou plus tôt la bouche ouverte aucun mot n'en sortais. Si c'est tous ce que tu avais à me dire, je préférerais que tu ne m'adresse plus la parole.

Aujourd'hui je n'ai pas vus Karma, après que je soit partis pour prendre le train je n'ai pas fait attention s'il m'avais suivit mais j'en déduisais alors que non. J'avoue que je me sentais mal, mais cela n'a rien d'important, car j'ai pus lui dire tous ce que j'avais sur le cœur. Puis je pense que qu'il savais que je ne le pardonnerais pas.

Comme à sont habitude la cloche sonna, quand je quitta le bâtiment pour rentrer chez moi je fus emmener à par et tabasser, je pense que certains point ont sauter mais ça va, ce n'est pas si douloureux. Je voyais certaines personnes me regarder étrangement, je pouvais voir que certaines personnes hésitait à venir me parler mais aucun ne l'a fait, heureusement personne ne l'a fait, car je pense que j'aurais pleurer. Quand j'insère les clefs dans la serrure un vague sentiment de soulagement me prends, le cœur lourd et les oreilles bourdonnante je passe le pas de a porte. Derrière la porte je me laisse glisser au sol. Les larmes s'écoulent le long des mes joues, je me sens épuisé, j'ai l'impression que quoi que je fasse rien ne changera, je continuerais à souffrir. J'ai juste envie que tous ce finisse, j'ai envie de mourir.