- Je.. Je n'en peux plus, je n'y arriverais pas, je veux juste que tous s'arrête... ! Pleurais-je, je n'arrivais plus à stopper mes larmes de couler, les soubresaut de mon corps blessais mon dos meurtri. Des phrases horrible et rabaissantes assaillait mon esprit.
D'un mouvement précipiter je me saisit de ma lames et traçait des lignes ensanglanté le long de mes bras. Quand je fus satisfait de mon massacre je m'arrêtais et contemplait mon travail.
Soudain j'entendis des rires s'échapper de mes lèvres, les larmes ne s'étaient pas taris, au contraire. J'avais l'air d'avoir perdu la tête.
- Alors voici ce que je suis, c'est drôle. C'est ce que j'étais, ce que je suis et ce que je serais. Chuchotais-je pour moi-même. Je ne pourrais pas changer, personne ne change vraiment.
Dégoulinant de fluides divers de me dirigera vers le salle de bain d'un pas chancelant. L'eau brûla mes blessures mais me nettoya de cette journée déplorable. Je jetais ma chemise dans la panier de linge sale. Je décidais de troquer mes manches longes contre un débardeur, après tous j'étais seul à la maison, personne pour me jugé ou me regarder de travers et bien que ma mère savais pour ces traces je préférais les couvrir.
Je montais chercher un plaide dans ma chambre et descendis par la suite dans le salon, je l'allumais et mis un film au hasard, cela faisait très longtemps que je n'avais pus le faire. Malheureusement
je ne mis pas longtemps à m'endormir emmitoufler dans ma couverture.
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Un tintement se fis entendre, on sonnait à la porte, je paillonna des yeux en me réveillant. Je me saisis d'un gilet posé sur le porte manteau à côté de l'entré et ouvrit la porte.
Devant moi se trouvait Karma les yeux gonflé, le lèvres tremblotante et les joues mouillé. Plusieurs question m'assaillent, comme, qu'est ce qu'il faisait là, comment savait-il où j'habitais et bien d'autre. Mais je ne pus les lui posé, car il me pris dans ses bras, ses larmes vinent mouiller mon épaule et je me mis à trembler au rythmes des secousses de sont corps. Mais la seule chose qui obnubilais était cette chaleur qui je ressentais dans ses bras, cela faisait bien longtemps que nous ne nous étions pas étreint comme cela.
Je repris le contrôle de mes pensé dans son étreint devint un peut trop serré et qu'elle me faisait suffoquer.
- Karma... stop, tu me fais mal. Il me relâcha et essaya d'essuyer ses larmes avec ses manches. Tu pleure ? Ne pus-je m'empêcher de demander.
- Oui je pleure, ça se voit non ?! Je me tendis et fis un pas en arrière suite à sont agressivité. Non... pardon, je voulais pas... il peiné à correctement articuler à cause de son souffle court. Nagisa, j'y arrive plus, c'est trop dure, ça me fait mal de faire semblant de te détester. Ces mots me firent l'effet d'un poignard planté en plein cœur. C'est exactement ce que j'avais attendus, des excuses, de vrais excuses.
- Arrête de pleure s'il te plaît...
- J'y arrive pas... dit-il entre deux inspirations. Je ne pus m'empêcher de soupirer.
- Viens, entre. Je m'écartais de la porte. Il hocha simplement la tête et me suivit.
Je remarquais en fermant qu'il faisait nuit dehors et froid aussi, combien de temps avais-je dormis ?
- Tu veux un truc à boire ?
- Ça dépend de ce que tu as. J'étais dans la cuisine, j'ouvris la porte du frigo.
- J'ai du lait à la fraise, je sais que t'aime ça. Il m'adressa un sourire entre ses larmes qui me fendit le cœur. Je t'emmène ça.
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Vaillance [Yaoi],[BL]
FanfictionNagisa a une vie vraiment difficile auprès de sa mère qui n'accepte pas le faite qu'elle est donné naissance à un magnifique jeune homme. Depuis sa rentré au lycée Karma et lui se sont éloigné, celui au cheveux de flamme à dès alors commencer à pers...