Vaillance [Yaoi],[BL]

Chapitre 6

Une fois rentré à la maison je ne cherche pas ma mère et m'engouffre immédiatement dans ma chambre. Je suis épuisé malgré mes dernière heures de repos. Installer sur mon lit je m'endors presque instantanément.

Mes yeux s'ouvrent et des sueurs froides dévalent mon corps avec imprécision désagréable de reprendre mon souffle, mes muscle protestent à la soudaine mise sous tension. Doucement je reprends mon souffle, je me sens poisseux, recouvert d'une pellicule de sueur. Je décide alors de prendre une douche, dans glace mon reflet me fait presque peur. Je n'ai certainement jamais était en si mauvais et en même temps en aussi bon état. Des points de suture s'étendent à parsis par là de mon dos, les bandages placé de manière à protégé la guérison me donne juste l'impression de vouloir cacher la misère. L'eau chaud me brûle mais je résiste à l'envie d'actionné l'eau froide. Je fixe liquide s'écouler de mes membres et sa couleur change, une très légère teinte rouge l'accompagne.

En sortant de la cabine j'essaie de rencontrer le moins possible mon reflet. J'applique les bandes protectrices sur mon corps. Quand cette partie macabre est enfin terminer je sort et descend, comme toujours le plus discrètement possible. Je me rend quand le cuisine pour boire un vers d'eau, quand mes yeux rencontre un morceau de papier déposer sur un des plans de travail.

« Je part pendant deux semaines, en voyage d'affaire, j'ai prévue de la nourriture dans le frigo pour tous le temps de mon départ, mais si y manque je t'ai laissé de l'argent.

Soit sage,

Maman »

Elle était partit, pendant deux semaines. Je ne pus retenir le sourire qui recouvris mon visage. Elle ne pourrait rien me faire, pendant deux semaines entière !

D'une démarche trahissant mon bonheur je me dirigeais vers la gare. Les pas sont tranquille bien que pleins d'entrain. De loin j'aperçois Karma qui m'avais vus avant que de ne le capte, celui-ci me lance un regard étrange. C'est vrai que je devais avoir un micro sourire assez inhabituel, mais c'est si étrange que de voir une personne un peut heureuse ? Je décide de l'ignorer, en faisant comme s'il n'était pas là comme avant son déménagement. Les écouteur dans les oriels je me concentre sur les paroles rassurante de la musique.

Je sursaute quand une main me tapota l'épaule, je ne l'avais pas entendus approcher.

- Eh, j'te parle, tu m'écoute ?

- Ah, heu... ouais j'entendais pas, tu me disais quelque chose ?

- Bah ouais, il soupir. J'te disais que ça t'allait bien de sourire. Je sentis me joues chauffé à ses mots.

- M-Merci... ! Répondis-je plus avec plus d'entrain que je ne l'aurais souhaité. Ça fait bizarre, vraiment étrange. Depuis que nous avons couper les pont il ne me parle plus, et maintenant il me dit ça ! Il devais essayer de me donner des espoirs pour ensuite les détruire, ça ne peut être que ça, je lui fait pitié après tous.

Je perdis mon sourire et le regardais avec un regard noir.

- Ça te fait rire hein ? Il perdit son sourire à son tour. Je pouvais lire dans son expression qu'il était perdu. Ça te fait rire de me faire espérer ? Hier tu e disais que je te faisait pitié, aujourd'hui tu me fais des compliment ?! Fait un choix, je ne tomberais pas dans tes piège mal-saint !

Je me rendis compte plusieurs personne nous observaient, cela faisait longtemps que je n'avais pas parler à quelqu'un comme ça. Je ne le regretté pas, bien au contraire. Je sentais même une certaine satisfaction, comme si une pierre de mure avais était enlevé, et qu'un rayon de soleil avait était aperçu.

Karma me regardait, les sourcils froncé puis ses trait se relâchèrent et je pus voir une sorte de regret dans son expression ?