Vaillance [Yaoi],[BL]

Chapitre 4

PDV Nagisa :

J'avançais en direction des WC, en cette instant je me fichais de tous les regards que l'on pouvais me jetais, je me fichais des chuchotement que j'entendais s'élever dans mon dos, plus rien ne comptait. Mes yeux était embué de larmes, je louper presque de raté les virage et je manqua de rentrer dans plusieurs personnes, mais je rejoint tous de même mon objectif.

Mon premier réflexe fus de m'enfermer dans une des cabines. Je bataillais à me débarrasser de mon pull qui me collait au corps, un bouton sauta de ma chemise dans mon empressement. De ma chaussette j'extirpai une lame de cuter que je gardais « au cas où ». Très vite les trait apparurent sur ma peau. les larmes se tarirent et le sang coula, le clapotis de l'eau se fis entendre alors que des goût rouge âtre tombaient de mes avant bras jusque dans l'eau salle des WC. Comme par magie tous s'arrêta, mes sentiments arrêtèrent d'éloigner les pensé cohérente de mon esprit. Je pus de rassembler mes idées, mon souffle repris chemin jusque dans mes poumons. Ma gorge me faisait mal mais je me sentais bien...

Je enclenchais la chasse d'eau pour effacer toute trace de mon méfait et sortis de la cabine après m'être assurer que personne n'était dans les parages. Je rinçais mes bras sous l'eau d'un robinet. Je me saisis de papier toilette et épongeais l'eau et le sang qui continuais de ruisseler. Je me débarrassais su papier dans les WC et tirais la chasse. Je recouvris mes bras de bandage que je gardais dans les poches de mon pull.

Plus personne n'était dans les couloirs, je compris que les cours avais repris. Je me dirigeais vers ma salle de classe en traînant des pieds. Quand je toque à la porte on m'intima presque immédiatement d'entré.

- Veuillez excuser mon retard Koro-sensei.

- Ce n'est pas grave du moment que ça ne devienne pas une habitude. Me sermonna gentiment le professeur.

- Bien sûr.

Je retournais à ma place en fixant mes pieds, sentant leur regard me brûler, cherchant la moindre de mes faille, la moindre faiblesse.

Le cours avais déjà débuté depuis plusieurs minutes, mais je n'arrivais pas à me concentrer, les paroles de l'enseignant m'avais l'aire d'être dans un dialecte étranger et les mots au tableau dansait comme pour me narguer de me pas réussir à les déchiffrer. Mes oreille produisaient un sons étrange, un sifflement aigus en continue, mes yeux n'arrivais pas à fixer un point, soudain je vis noir et une bouffé de chaleur me pris au visage. Je décidais que c'était le bon moment pour le signaler au professeur.

- Monsieur, excusais moi mais est-ce que je peut aller au toilette, s'il vous plaît ? Le professeur m'étudia de la tête au pieds, je devais avoir vraiment mauvaise mine vus qu'il ne fis aucun commentaire.

- Oui si tu veux mais quelqu'un doit t'accompagner. Je n'avais vraiment pas envie que quelqu'un soit avec moi.

- Monsieur ce n'est pas la peine que déranger quelqu'un d'autre je peux y aller seul.

- Je sais mais un ne sais jamais si par malheur tu venais à te perdre dans les couloirs. Est-ce que quelqu'un veut bien accompagner Nagisa. Je ne pris pas le temps vérifier si quelqu'un se désignais car me levais et paris, cependant une personnes du le faire car j'entendais les remerciement du professeur. Mes pas étais rapides, en tous cas autant rapide que me le permettait mes membre fatigué.

Je n'étais plus loin des WC quand ma vus se brouilla et que je fis de nouveau noir, c'est aussi à ce moment que mes jambes me lâchèrent, je tombais à genoux au sol. Sans que je ne sache pourquoi des larmes s'échappèrent de mes yeux, comme si je n'avais pas déjà assez pleuré. Puis une grande douleur m'assaillis, cette fois j'avais abuser et mon corps me le faisais savoir. Je pouvais sentir tous mes membres me supplier de stopper tous mouvement. Une sensation d'humidité se faisait sentir au niveau de mes bras mon dos, semblable une impression de transpirer mais se qui s'écoulerait de mes pores serais un acide que je ne peux contrôler.

Aussitôt une présence se manifesta sur mon épaule et une main chaud se rajouta à ma torture, d'un mouvement d'épaule d'essayé de me débarrasser du parasite. Mais celle-ci me retourna, mes yeux se prolongèrent alors dans ceux ambre de la personne avec qui j'aurais le moins envie de me retrouver en ce moment.

- Nagisa ! Qu'est ce qui se passe ?!

- Karma ? Mais qu'est ce que tu fous là !? Réussis-je à articuler entre deux sanglots.

- C'est moi qui doit t'accompagner idiot !